1. Mon tout premier bukkake (1)


    Datte: 07/05/2023, Catégories: Hétéro Auteur: Beasalope, Source: Xstory

    ... masturber les uns et les autres, et parfois s’adonnait elle-même à l’art du pompage. Quel plaisir pour cette classe de petits jeunots, la plupart encore puceaux, de se faire tailler une plume par deux belles déesses ! Finalement, mon excitation était tellement à son comble que je me suis débarrassée de mon shorty et de mon débardeur, puis de ma culotte et de mon soutien-gorge, laissant voir sous les compliments ébahis une paire de loches lourdes et un minou bien rasé.
    
    Je me suis allongée sur les oreillers, surélevant le bassin tout en gardant le dos et les pieds au sol, et j’ai invité mes Appolon :
    
    — Venez me baiser bande de cochons !
    
    Ni une ni deux, les plus rapides et les moins timorés sont venus tremper leur biscuit dans ma moule vibrante et gluante. Ils s’activaient à une vitesse folle, me prenant les hanches et me besognant avec des "Han!" de bûcheron à chaque coup de bite au fond de ma chatte.
    
    Comme l’exercice était dur - tout comme leurs pénis érigés - je me suis retournée et les ai autorisés à me prendre en levrette, tandis que j’avais la tête contre les oreillers, soufflant rauque et continuant à réclamer des coups de butoir à fond de vagin. Les uns après les autres, j’ai eu droit à plusieurs cow-boys différents - à moins que ce n’ait été les deux mêmes, alternant, car je ne voyais rien la tête dans les coussins et les yeux souvent fermés, pleurant de bonheur qu’on me prenne telle une truie - me pilonner sèchement et m’arrachant des soupirs ...
    ... d’extase.
    
    Enfin, un de mes amants, qui était en train de se masturber frénétiquement à trente centimètres de moi, s’est approché de ma tête, l’a relevée hors des oreillers en me prenant par les cheveux et voilà-t’y pas que j’ai reçu une généreuse giclée de foutre sur le minois. La substance blanchâtre et onctueuse est venue délicatement me repeindre le minois, du menton au front. Le signal de ma déchéance est tombé : aussitôt, je suis entourée de vigoureux éphébes qui se massent violemment la queue avant de m’ordonner de basculer la tête en arrière et d’ouvrir la bouche bien sagement.
    
    Les uns après les autres, ils ont éjaculé en abondance, maculant mon cuir chevelu, éclaboussant de gerbes de jouissance mes joues rosies, m’ont fait un dépôt en liquide sur le bout du nez, et surtout ont rempli à l’envie ma petite bouche de semence bien juteuse, salée et acide. Je n’arrivais plus à contenir leur sirop d’amour, si bien que je suis tombée dans le dilemme : devais-je refermer la bouche et tout faire tomber par terre ou avaler ? Instinctivement, c’est la seconde option que j’ai envisagé, et devant leurs applaudissements j’ai tiré la langue pour montrer que je suis une avaleuse gourmande et docile.
    
    Mais c’était bientôt l’heure des cours ! Tous les garçons ont remonté leur calbute et repris les affaires en rigolant, me laissant honteusement assise jambes ouvertes, du sperme dégoulinant de mes cheveux blonds jusqu’à mes seins, glissant même les long de mes hanches jusqu’à mes ...