Emilie, de jeune fille modèle à chienne exemplaire (1)
Datte: 06/05/2023,
Catégories:
Hétéro
Auteur: DarryllPauvert, Source: Xstory
A l’abri des regards dans son cabanon, André se livrait à son activité favorite: se palucher en matant les lycéennes du « club des femmes » assises en face. Depuis toujours, ce petit coin du parc un peu à l’écart constituait un spot pour les filles de terminale ayant accédé à la majorité (c’était apparemment la condition d’admission au club) qui y cancanaient de génération en génération, pour le plus grand bonheur du jardinier. Un bonheur mêlé de souffrance à vrai dire, car les jeunes filles en fleur étaient aussi belles qu’inaccessibles pour le pauvre homme qui, s’il n’avait jamais eu grand succès auprès des femmes, il en avait moins encore en vieillissant. « Les bécasses piaillant », (comme ils les appelaient dans le meilleur des cas), « le cercle des putains disparues » (dans un des pires) lui inspirait autant de désir que de rage et se vider les couilles manuellement ne lui permettait nullement d’apaiser une frustration chronique.
Un petit banc anormalement bas, situé pile en face de son observatoire, lui permit d’admirer des défilés de culottes et d’en apprécier l’évolution à travers le temps. Il put également constater depuis les années 80 où il avait commencé à travailler au lycée, la disparition de la pilosité qui, au début de sa carrière, débordait souvent de larges slips en coton. Cette abolition de la capillarité pubienne s’accompagna dans les années 90 de vifs débats qu’il suivit avec passion. Fallait-il se départir de cet attribut qui signait la ...
... transformation de la fille en femme ? La réponse, manifestement positive, n’arriva qu’au terme de polémiques enflammées où il fut question de respect de soi, d’hygiène intime, de féminisme, de phallocratie, d’autant de considérations auxquelles le jardinier eut volontiers pris part s’il y avait été invité, réconciliant peut-être les deux camps en indiquant que pour sa part, vu de son cabanon, il leur eut volontiers bouffé la chatte à toutes, glabres ou poilues.
Si en 2018, le string, majoritaire, montrait sans équivoque que les pornographes avaient gagné la partie, qu’on n’était femme que rasée, fut-ce imparfaitement, et que cela ne souffrait aucune contestation, la vague Me too ramena la discussion sur le tapis. Le poil sur la chatte, voire sous les bras, redevint un acte militant. André, à nouveau, eut mis tout le monde d’accord si on avait sollicité son avis, ce qui était hautement improbable.
Un soir cependant, un miracle se produisit, qui devait en entraîner d’autres dans son sillage et transformer sa fin de carrière en un enchantement perpétuel. Trois garçons de terminale lui proposèrent, pour une somme très raisonnable, de niquer Madame C, superbe prof de français dont ils avaient fait leur pute consentante en usant de chantage. Il participa ainsi avec une multitude d’autres hommes à un gangbang durant lequel il commença à prendre sa revanche sur les femmes, transgressant les règles établies par les garçons, se comportant comme un parfait salaud avec la prof, cherchant à ...