Jaguar, un art de vivre... - Histoires de Sexe

Jaguar, un art de vivre...

... apprécier le traitement. Je la pénétrai avec mon majeur, et son vagin était encore trempé, il entrait tout seul. J’ajoutai mon index, puis l’annulaire. Corinne haletait doucement et se caressait les seins. Elle se pinçait les bouts, les tortillait ; manifestement, elle recommençait à prendre son pied.

La chaleur dans la voiture montait, nous étions en sueur. Corinne sentait bon. Je serrai ma main, et commençai à lui rentrer dans le sexe.

— Humpf, allez-y doucement… doucement… là, comme ça… hummmmmmmm.

Doucement, ma main était entrée en elle… c’était un spectacle du plus haut érotisme, et mon sexe reprenait de la vigueur. La toison de Corinne était tout humide et emmêlée… Elle écarta les jambes, pour que je puisse aller plus loin. J’y allais tout doucement, j’avais peur de lui faire mal.

— Corinne, vous êtes… magnifique.

C’est vrai qu’elle était belle, nue, un ventre bien plat, des petits seins bien fermes, une chatte bien fournie, de longues jambes douces et sans défaut, et son sourire… Elle fait partie des femmes qui prennent du plaisir en faisant l’amour, et cela se voyait.

Je sortis ma main doucement ; elle était bien humide. J’aventurai mon majeur sur son anus, et commençai à appuyer pour le faire rentrer.

— Ha, Franck, s’il vous plait, je n’aime pas trop par là. En fait, je n’ai jamais été prise comme ça, mais ça ne me tente pas.
— Pas de soucis, je tentais juste ma chance, vos fesses sont tellement attirantes…
— Ah mais vous pouvez vous frotter ...

... contre mes fesses si ça vous dit, mais si vous le voulez bien, ne m’enfoncez pas votre sexe dedans, ce serait vraiment cool de votre part. En disant cela, elle se tourna d’un coup de rein, et s’allongea à plat ventre sur la banquette arrière. Elle dut plier les genoux, la voiture n’étant pas aussi grande qu’elle…
— Mettez-vous plutôt à genoux, on aura plus de place.

Aussitôt dit, aussitôt fait, Corinne se mit à genoux, les jambes serrées, les bras repliés et en appui sur la banquette, la tête contre le cuir, tournée vers les fauteuils avant. Elle me présentait ses fesses.

Je glissai mon sexe entre ses deux fesses magnifiques, et commençai à me caresser en me frottant contre elle. J’en profitais pour lui caresser le dos.

Quelques mouvements suffirent pour que je jouisse, mon sperme giclant sur son dos.

— C’était super, Corinne… vraiment super.
— Sympa aussi pour moi, je dois dire… je suis sur du cuir, dans une voiture de rêve… quel pied ! Quelle heure est-il ?
— 13 h 30
— Vous me ramenez au bureau ?
— Vous ne voulez pas manger un morceau, vous n’avez pas faim ?
— Hum, pas le temps, mais si vous m’offrez une autre balade en Jag, je crois que je me laisserai tenter à nouveau. À la limite, je prendrai un après-midi, Estelle préfère qu’on la prévienne suffisamment tôt, on fera un petit restau, une grande balade… et tout le reste. Si on prend notre temps, et si vous en avez toujours envie, on pourra peut-être essayer la sodomie. Après tout, être enculée dans une ...