Dressage d'une collègue (2)
Datte: 05/05/2023,
Catégories:
Hétéro
Auteur: Eric989, Source: Xstory
Après une très bonne nuit pleine des perspectives que j’imagine pour J., je passe la chercher.
Elle m’ouvre, prête dans son élégant tailleur sage, elle semble presque honteuse et garde devant moi la tête baissée ; j’adore.
J’entre, ferme la porte et la prends par les hanches, elle ne résiste pas quand je l’attire vers moi et me penche pour prendre sa bouche, elle me rend mon baiser et ses mains me prennent la nuque, elle est vraiment séduite et je constate que je vais pouvoir bien en profiter, reste à savoir quelles seront ses limites, mais le sujet me semble facile à manipuler.
Après quelques caresses appuyées, elle commence à haleter et je lui dis qu’il faut aller travailler.
En me séparant d’elle, je lui susurre : « ça va être la fête de tes sens ce soir »
Et je vois son regard se troubler, la journée va me paraitre longue.
Elle se passe très professionnellement sans aucune allusion ni attitude équivoque de l’une ou de l’autre, mais je vois de temps en temps dans son regard quand elle le tourne vers moi un sentiment d’appartenance qui me fait augurer d’une obéissance que je vais tester dès ce soir.
Comme la veille, la journée a été dure et se termine plutôt tard, on reprend la voiture, l’hôtel étant à quelques kilomètres, le soleil est déjà couché et il règne un beau clair-obscur.
On parle un peu boulot, puis ma main se pose sur sa cuisse, très haut ; elle ne se retire pas et, au contraire, soupire ; déjà excitée.
Je m’arrête au bord de la ...
... petite route, me penche sur elle et l’embrasse, baiser fougueux qu’elle me rend sans délai.
Mes mains la caressent sous sa jupe et je lui susurre : « tu sais, je suis mordu, et j’ai envie qu’on passe une super soirée, je t’emmène dans un restaurant très sympa et intime, mais j’ai besoin de savoir si tu as vraiment envie qu’on continue »
Son regard reste langoureux grâce à mes caresses appuyées, mais devient un peu interrogatif, je pousse ma main contre sa petite culotte que je décèle déjà humide, ça s’annonce bien.
— Ecoute, tu es splendide, une vraie femme avec des formes très excitantes et ce soir, j’ai envie que tu me prouves ton attachement, tu me rejoindras au bar, nue sous ton tailleur, pas de sous-vêtement, je veux te sentir offerte à ton homme.
(J’y vais un peu fort pour une petite bourgeoise coincée, mais vu ce que je décèle chez elle, je pense qu’il faut profiter de mon avantage).
Elle baisse un peu la tête, presque honteuse, c’est bon signe.
Je n’insiste pas plus et, après un dernier baiser très fougueux auquel elle répond, je reprends la route et nous arrivons vite à l’hôtel.
— Allez, on se retrouve au bar dans une demi-heure, j’ai réservé pour ce soir ; je me dis en moi-même : si elle vient comme je lui ai demandé, c’est gagné et elle ne refusera plus rien même s’il faudra un peu la brusquer, il faut que ce soir, je me surpasse pour l’accrocher définitivement. »
Ces bourgeoises coincées et délaissées ont vraiment un potentiel de salope et je me ...