Une surprenante voisine (4) - Histoires de Sexe

Une surprenante voisine (4)

... délice.

Je la pénètre d’un, puis de deux doigts, sa vulve palpite et son corps se cambre, elle jouit d’un plaisir non retenu, ici il n’y a que les animaux sauvages pour nous entendre.

— Vas-y enfonce tes doigts, fais-moi jouir, baise-moi avec tes doigts.

J’entre et sors de plus en plus vite mes doigts maintenant trempés de sa mouille.

— Oui c’est bon, plus vite, plus fort, vas-y à fond.

Je m’exécute en lui manœuvrant la chatte comme elle le désire.

— Maintenant, prends-moi, me dit-elle dans un soupir"

Je me mets derrière et la pénètre lentement, mon sexe bien dressé et préparé par sa bouche rentre facilement et profondément, son corps ondule de plaisir, à chaque va-et-vient, mes couilles claquent sa vulve et son clito turgescent, ce qui lui fait pousser de petits cris.

— Oui, prends-moi comme ça, enfonce bien ta queue, remplis-moi de ta bite, j’en avais tellement envie.

Je la prends sans ménagement, lui enfonçant mon sexe de plus en plus loin et de plus en plus fort.

— C’est bon, encore, je vais jouir.

Redoublant d’efforts, je la pilonne de plus en plus vite et dans un ultime assaut, j’enfonce ma queue au fond de son sexe percutant sa matrice, je lui déverse des jets de sperme, qu’elle prend en râlant de plaisir.

Nous nous effondrons tous les deux, ivres du plaisir partagé.

— Quel pied, j’ai joui comme une folle.

— Moi aussi, merci.

— De quoi ?

— De m’avoir amené ici pour me donner du plaisir.

— Ce n’est pas fini mon doux ...

... chevalier, amène-moi ton épée que je lui redonne de la fierté.

Et, reprenant mon sexe en bouche dans un 69, elle s’active pour lui rendre sa dignité et sa raideur, ses coups de langue ont vite fait de lui rendre sa raideur.

— Occupe-toi de mon cul, souffle-t-elle.

Ma langue part à la découverte de son petit trou, le bout titille l’entrée qui petit à petit se dilate et, bientôt, ma langue entière entre et sort de son anus, je la branle avec ma langue, elle se pâme de plaisir, dire qu’il y a quelque temps, elle ne voulait pas entendre parler de sodomie.

— Oui c’est bon, vas-y lèche moi bien profond.

N’écoutant que son désir, ma langue s’enfonce au plus loin que je peux.

— C’est bon miaule-t-elle, mais je veux ta queue maintenant.

Je me redresse et me place derrière elle, j’approche ma queue bien remise en condition par sa bouche à l’orée de son cul et, à ma grande à surprise, c’est-elle qui s’empale dessus, allant jusqu’à la garde.

— Ouiiiii c’est mieux qu’une courgette, un concombre ou une carotte.

Redoublant d’efforts, elle avance et recule sur ma queue, mon gland me fait un peu mal tellement ses mouvements sont rapides, je calme ses ardeurs en prenant ses fesses à deux mains et ralentissant la vitesse, elle a compris et ralentit d’elle-même.

— Enfonce bien ton épée mon preux chevalier, enfonce-la jusqu’à la garde.

Après plusieurs aller-retour dans ses reins, ma queue n’en pouvant plus de ses activités, je me déverse une seconde fois au fond de ...