1. Triple A (2)


    Datte: 04/05/2023, Catégories: Lesbienne Auteur: Brimbelle, Source: Xstory

    ... n’était que sourire. Sans vraiment en avoir eu la volonté, j’ai posé une de mes mains sur l’une des cuisses d’Adriana, et je me suis mise à la câliner doucement. Son sourire s’est encore embelli.
    
    Sans me quitter des yeux, elle se mit à titiller un téton avec un doigt. L’effet fut presque instantané, car je les ai très érectiles, ils peuvent atteindre le centimètre en longueur au plus fort de mon excitation.
    
    — Andréa regarde comme elle a de jolis tétons.
    
    Elle arrêta son travail pour lever la tête et découvrir l’objet de l’interpellation. Puis à quatre pattes, elle s’est approchée jusqu’à surplomber ma poitrine où elle déposa un tendre baiser sur le sein qui n’était pas en main. Elle a même délicatement mordillé ce téton insolent, ce qui provoqua en moi le passage d’un cran supplémentaire.
    
    Andréa se repositionna sur ma fourche pour reprendre son travail. Une sensation de fraîcheur provoquée par une bandelette que l’on appliquait mon pubis, puis ce fut une douleur, vive, intense, lorsque celle-ci fut arrachée. Une douleur vite calmée par l’application de la paume de la main sur la partie martyrisée. Puis elle recommença jusqu’à ce qu’elle fût satisfaite de l’œuvre accomplie.
    
    — Adriana, attrape lui les jambes, que je lui fasse la raie.
    
    — Alycia, lève tes jambes à la verticale.
    
    J’obéis sans me poser plus de questions. Je n’étais plus à ça près. Adriana qui était venue se positionner au-dessus de mon visage m’offrait une vue imprenable sur son minou. Elle ...
    ... m’attrapa mes chevilles, tira sur mes jambes en les écartant le plus possible, ça me mettait dans une position des plus inconvenantes. J’avais ma chatte et mon anus à la merci d’Andréa. Celle-ci, indifférente à ma position, continuait son œuvre. J’ai senti une nouvelle fraîcheur et une nouvelle douleur sur ce qui pour moi était la partie la plus secrète de mon intimité. Je sentais mon minou s’ouvrir et se fermer pour piéger le plus récalcitrant des poils. Quand j’ai senti un doigt agacer mon petit trou, j’ai eu comme un mouvement de recul.
    
    — Tu es vierge de là ?
    
    — Oui !
    
    — Tu n’as jamais essayé ?
    
    — Non, jamais !
    
    — Ferme les yeux, décontracte-toi et laisse-toi aller.
    
    J’obéis et quelques instants après, j’ai senti un doigt qui me massait ma rosette en tournoyant tout autour. Encore une nouvelle sensation ! Puis ce fût une pression plus forte, et enfin, j’ai senti l’intrusion.
    
    — Elle est très étroite, hyper serrée.
    
    — Ne t’en fais pas, on arrangera ça, me dit Adriana.
    
    Elle reprit son travail. La position dans laquelle on me maintenait était inconfortable, reins relevés et cambrés, les jambes grandes ouvertes presque en grand écart, commençait à me faire mal. Heureusement que j’ai entendu :
    
    — Voilà, elle est aussi lisse que nous, viens voir.
    
    Relâchant mes chevilles, Adriana rejoignit Andréa et toutes les deux étaient admiratives devant ma petite chatte totalement dégagée. Agenouillées, côte à côte, contemplatives de mon intimité, leurs bouches se ...