1. Tombés du ciel (8)


    Datte: 03/05/2023, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Yojik, Source: Xstory

    ... attirante...
    
    Roger leva un sourcil étonné et baissa les yeux vers son sexe tendu. Celui-ci parlait pour lui question attirance pour la femme nue. Elle sourit de toutes ses dents, cela lui faisait vraiment plaisir de se sentir désirée. Cela lui manquait de ne plus avoir ce genre de regard se poser sur elle.
    
    — Tu nages toujours ?
    
    — Moins qu’avant, mais j’essaye de m’entretenir.
    
    — Tu es superbe.
    
    — Merci. Approche.
    
    Roger s’avança vers Bérénice qui se mit à genoux devant lui. Elle inspecta le membre sous toutes les coutures puis se mit à lui lécher les couilles et la hampe sur toute la longueur.
    
    — Ma salope, tu restes la meilleure suceuse ! Allez, suce-moi bien à fond, sale chienne.
    
    Bérénice se sentit encouragée à se faire traiter de la sorte. Son précédent compagnon se laissait parfois aller à lui sortir des "cochonne", "coquine", mais pas plus. Elle avait dû souvent se dire ces mots dans sa tête pour augmenter son plaisir ou pour atteindre l’orgasme. Là, elle les entendait de la bouche d’un homme qui pourtant ne la considérait pas comme telle. Elle emboucha le gland violacé de Roger et le pompa ardemment. Son vagin dégoulinait de mouille tellement elle s’excitait sur cette queue et à ces mots.
    
    — Ouais, t’es vraiment une chienne de me sucer comme ça ! Mais quelle chienne quand même ! éructa Roger plein d’admiration.
    
    —Slurp,je suis ta chienne, Roger. J’aime quand tu me parles comme ça.
    
    — Tais-toi et suce ma petite pute.
    
    Roger se raidit d’un ...
    ... coup, il venait de dire une chose qu’elle ne voulait pas entendre à l’époque. Il se rendit compte qu’il l’avait dit aux deux femmes la veille, mais que Bérénice n’avait pas réagi à ce moment-là. Elle ne réagissait pas plus maintenant.
    
    — Dis-moi tout ce que tu veux, tout ça m’a trop manqué. Je suis ta pute, ta putain, ta putain de salope. Ta chienne en chaleur, ta cochonne, ta chatte brûlante...
    
    — Alors, redresse-toi petite pute. J’ai bien envie de te prendre ton garage à bite. Il m’a manqué.
    
    — Ta grosse queue m’a manqué aussi, dit-elle en se relevant et en s’appuyant sur les barrières métalliques.
    
    Roger se plaça derrière elle et fit glisser son gland le long de la vulve de la femme. Bérénice couina de plaisir et d’impatience. Elle la voulait à l’intérieur d’elle pas à l’extérieur. Elle chercha à se reculer pour s’empaler elle-même, mais le fermier se déroba.
    
    — C’est moi qui décide quand je te la mets, dit-il en lui claquant légèrement le cul.
    
    — Aaah, oui. S’il te plaît, bourre-moi comme il faut le con. Fourre-moi comme une traînée ! le supplia Bérénice.
    
    — Tu le mérites grosse salope.
    
    Et Roger se planta violemment dans le vagin de Bérénice. Elle cria tant elle put pour se libérer de l’extrême plaisir qu’elle ressentit. L’homme derrière elle se mit à lui donner de grands coups de reins. Roger s’était agrippé aux hanches de la femme aux cheveux gris pour donner plus de puissance à sa pénétration. Le fourreau de Bérénice lui serrait divinement le pieu tout en ...
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