1. Aurel et Mélanie


    Datte: 03/02/2018, Catégories: fh, couple, couplus, hotel, intermast, Oral pénétratio, fsodo, extraconj, Auteur: Tito40, Source: Revebebe

    ... la pousser dans ses retranchements, lui faire mal au cul, l’humilier, mais c’est ça qu’elle veut. Elle y est presque.
    
    Aurel a refermé la porte, lui a ordonné de se taire et de se laisser guider, puis lui a arraché littéralement ses vêtements. Il ne montre aucune tendresse, aucune retenue. Il lui a claqué plusieurs fois les fesses et elle en a ressenti une douleur plaisante. Elle a de plus en plus chaud. Il vient de lui ôter sa culotte et de lui mettre une nouvelle claque sur une fesse. Elle a hurlé. Il en a profité pour lui mettre une main entre les cuisses et lui enfoncer plusieurs doigts dans la chatte. Elle a sursauté. C’est bon de se faire traiter ainsi. Il la masturbe brutalement, puis son pouce vient chercher son anus et sans ménagement, s’y introduit directement. Il la pénètre fortement au point qu’elle a failli basculer en avant, mais il la tient de son autre main plaquée sur ses seins qu’il pince et malaxe. Elle a tendu la sienne pour attraper sa queue, mais il l’en a empêché. Elle a juste eu le temps de la saisir avec l’intention manifeste de le tirer vers elle, mais il l’a prise par le poignet et l’a retirée avec autorité. Pas touche ! Alors, il n’allait sans doute pas tarder à la prendre, à la baiser debout comme une pute. Elle en avait tellement envie. Aurel l’aurait volontiers défoncée tout de suite tellement il bandait. Et elle était plutôt bien gaulée, la nana. Un gros cul, mais qui ne tombe pas, des petits seins qui ressemblent un peu à ceux de sa femme ...
    ... et qu’il aime tant. Et sa chatte est vraiment étroite, vraiment chaude. Mais il fallait patienter encore un peu, amener Sylvie au bord de l’extase, et ne l’achever qu’après.
    
    Il est 11 h 40. Alain est au bord de la crise de nerfs. Plusieurs fois, il a dû prendre sur lui pour ne pas cracher sa gourme sur le visage de Mélanie qui le suce tellement bien. Elle lui a caressé les fesses, se permettant même de lui mettre un doigt dans le cul. Et lui n’a pas le droit de bouger ou de parler sous peine que tout s’arrête. Il n’a pas même le droit de la voir, de se rincer l’œil. Sylvie n’en peut plus elle aussi. Elle mouille abondamment. Aurel lui a croqué le clito à lui en faire mal, et ce n’est plus un doigt qu’il a dans son cul, mais trois. Il lui fait mal, mais elle voudrait avoir mal plus encore en sentant sa grosse bite entrer en elle. Elle est mûre.
    
    Aurel n’en peut plus. Il suffirait qu’il se touche à peine la queue pour cracher sa gourme. Il est temps. Grandement. Il saisit fermement Sylvie par la main et la traîne derrière lui. Elle sait qu’elle va passer à la casserole, elle le veut, vite. Aurel ouvre une porte et entre dans la pièce voisine, elle-même dans l’obscurité. Il pousse Sylvie sur le lit, la force à s’allonger, lui glisse un oreiller sous les reins, lui écarte les genoux. Elle est prête à être prise, elle attend la saillie, elle attend sa queue tendue.
    
    Mélanie mouille comme une folle. Elle n’en peut plus. Son ventre réclame une queue. Elle se redresse et se ...
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