1. Aurel et Mélanie


    Datte: 03/02/2018, Catégories: fh, couple, couplus, hotel, intermast, Oral pénétratio, fsodo, extraconj, Auteur: Tito40, Source: Revebebe

    ... d’Alain. Sans doute ne serait-elle pas allée jusqu’à le suivre dans un hôtel pour se livrer à lui, mais elle avait aimé être caressée ainsi, délicatement, être regardée avec tendresse, être désirée ardemment. Et pour elle aussi, son corps avait manifesté des signés de désir, comme une chaleur au bas de son ventre révélatrice d’une envie de sexe.
    
    Ils s’en amusent de ces confidences, et finalement ça met un peu de piment dans leur vie.
    
    Aurel a revu Sylvie, sans jamais céder, pendant que Mélanie sentait le désir monter à mesure qu’Alain se faisait plus pressant.
    
    Alain, naturellement, n’avait rien dit à son épouse quant à ces rencontres clandestines. D’ailleurs, elles étaient platoniques. Ce n’était pas tromper. Et puis son épouse, finalement, ne méritait pas qu’il lui portât plus ample attention. Elle refusait ses avances de plus en plus souvent, et lorsqu’elle ne les repoussait pas, on aurait pu croire qu’il s’agissait d’accomplir un acte mécanique, vite fait, mal fait. Une corvée en somme. Certes il jouissait quand même, mais son plaisir n’était que physique. Il en était venu à se dire que sans doute il était cocu.
    
    Sylvie, naturellement, n’avait rien dit à son époux, de plus en plus distant, de plus en plus froid, de moins en moins attentif à ses envies qu’il ignorait somptueusement. Il lui faisait l’amour de temps à autre, sans passion, sans cris et sans caresses. Il se vidait rapidement les couilles puis lui tournait le dos pour dormir, ne prenant pas même le ...
    ... temps d’aller sous la douche. Elle essuyait le sperme qui coulait entre ses cuisses, puis s’endormait dans ses larmes. Son mari avait mal vieilli, elle peut-être aussi, en tout cas il ne l’aimait plus.
    
    Aurel et Mélanie, toujours complices à l’insu de leurs cibles respectives, s’étaient mis en tête de s’amuser, sans que le jeu ait quelque chose à voir avec l’argent.
    
    Aurel a laissé Sylvie s’accrocher solidement à son hameçon. Il la complimentait régulièrement, lui envoyait des textos un peu chauds, mais jamais vulgaires, lui faisait des remarques positives sur son teint, sur sa coupe, sur ses vêtements. Quand elle a voulu aller plus loin, il a été délicat dans son refus ; il ne voulait pas lui faire du mal, lui faire espérer l’impossible. Il ne se sentait pas digne d’elle, ne voulait pas briser son ménage. Plusieurs fois il l’avait pris dans ses bras, lui avait caressé le dos, l’avait embrassée dans le cou, lui avait fait sentir son érection en se collant contre elle. Il avait effleuré ses seins au travers de ses vêtements, puis l’avait embrassée avec passion avant de se reculer, la larme à l’œil, feignant de devoir lutter contre lui-même pour s’éloigner, et reporter à plus tard l’acte irréparable. Au retour chez lui, ils riaient de bon cœur avec Mélanie, ces salauds !
    
    Elle n’était pas en reste. Alain était devenu plus direct, plus insistant, mais elle s’en sortait toujours par une pirouette. Elle lui avait confié qu’elle avait très envie de lui, qu’il lui arrivait de ...
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