Une chute de vélo (17)
Datte: 02/05/2023,
Catégories:
Hétéro
Auteur: Mandrakke, Source: Xstory
... bouche sur son abricot, pour faire durer ce plaisir que j’avais à lui en donner. Ce stratagème fonctionna jusqu’à ce que Julie se mette à me lécher les fesses. Les grands coups de langue de chaque côté me firent perdre ma concentration. Que cette caresse était délicieuse !
— Ouuummfffffbbooooonnnn !
Ces sons qui sortaient de ma bouche malgré moi, étaient en grande partie étouffés par les cuisses de Natacha, qui n’avait de cesse de jouer de sa langue sur mes couilles. Elle appuyait plus fort pour me demander de descendre encore mon bassin. Dès que mes balloches furent à sa portée, elle essaya de les gober, et y arriva assez vite. Elle aspira la plus proche dans sa bouche, tourna sa langue tout autour avant de la recracher pour faire subir le même traitement à sa voisine.
J’adorais, même si parfois la frontière entre plaisir et supplice était mince : la pression exercée était quelquefois un peu trop forte. Toutefois cela m’aidait à tenir la distance car Julie m’embrassait les fesses, me les léchait de plus en plus longuement. Ce faisant, elle me procurait des sensations divines, quelquefois proches des frissons et se rapprochait inexorablement de ma raie. Lorsqu’elle l’attint enfin, elle lubrifia ma vallée sur toute sa longueur. Je gémissais sous l’action de sa langue agile, la première à emprunter ce chemin sur ma personne. J’en voulais encore tellement c’était bon.
Deux flashs à quelques secondes d’intervalle m’indiquèrent que de nouvelles photos étaient ...
... prises. Depuis des angles de vue différents, supposais-je.
Je retournai à l’assaut de l’intimité de Natacha. Je voulais la déconcentrer afin qu’elle laisse un peu mes boules tranquilles. Je lui mangeais l’abricot, jouant de ma langue, de mes lèvres, et aussi de mes dents. Deux doigts de chacune de mes mains étaient dans sa moule, cherchant les zones sensibles. Je saisis la pointe de son bouton entre mes dents et le mordillai très doucement. Il n’était pas question de lui faire le moindre mal.
Sous l’effet de ce traitement, ses ongles se plantèrent dans mes fesses pour les écarter encore plus. Je changeai pour un petit suçotement afin de la calmer, et repris ensuite mon mordillage. Plus elle étirait mes fesses, plus mes doigts lui écartaient la vulve. Elle aimait, et moi aussi. Plus je lui aspirais son clito, plus elle plantait ses griffes en moi. J’ai toujours adoré ce style de relation, où chaque action de l’un répond à celle de l’autre qui surenchérit, jusqu’à libération totale du plaisir mutuel. Julie poussa encore mes fesses en avant.
— Fais la jouir du cul, comme tu l’as fait pour moi ! suggéra Valérie.
Je suivis ces recommandations avec grand plaisir, mes mains passèrent sous ses fesses pour les soulever, ma langue poussa l’excédent de plaisir s’écoulant entre ses lèvres vers son trou le plus étroit, l’étalant largement, passant plusieurs fois sur ses replis frémissants. La pointe de ma langue en pressa le centre pour le préparer. Précaution inutile, il s’ouvrit ...