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Nymphomane, moi ? Tome III (12)
Datte: 01/05/2023, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Trixie, Source: Xstory
... avait pas de circulation, car il ne lâcha pas son rétroviseur des yeux. — Je n’ai jamais fait l’amour avec une fille aussi jolie que toi, j’ai de l’espoir maintenant, car je vois que tu me laisses faire. Sa main libre, il se mit à me caresser les seins. J’étais encore vraiment excitée, car sans réfléchir par l’intermédiaire de ma bouche, mon corps donna son accord. Je m’abandonnai complètement sur la banquette jambes grandes ouvertes, veste déboutonnée, poitrine à l’air. Ma respiration s’emballa. Les mouvements du poignet du chauffeur s’accélérèrent. — Oh oui, je serais curieuse de voir encore une fois l’effet de cet onguent, tes doigts me plaisent bien, enfonce-les encore ; plus vite, là c’est bien, embrasse-moi. Il les activa plus rapidement dans ma chatte, il se pencha pour me lécher les seins et me mordilla les tétons. Il sortit sa bite de son pantalon. Il bandait, mais c’était vrai, elle était très petite. — Branle-moi, branle-moi s’il te plaît ! Je me demande comment nous sommes arrivés à l’hôtel sans accident, les yeux du chauffeur furent rivés en permanence sur le rétroviseur pendant tout le reste du trajet, j’avais les jambes grandes ouvertes et les doigts du pharmacien accélèrent leurs mouvements dans ma chatte. Juste avant d’arriver, j’entendis notre conducteur grommeler. — Salope de blanche ! Le chauffeur noir se raidit d’un coup. — Il a dû éjaculer, pensai-je ! J’eus à peine le temps de reboutonner ma veste que presque au pas de ...
... charge, Dumortier me conduisit dans sa chambre. A peine entré, il se mit derrière moi, d’une main fébrile, il fit sauter le clip de ma veste, ses deux mains se saisirent de mes seins, il les malaxa, les tritura, fit rouler mes tétons, les tira, griffa mes aréoles. Il me mit face à lui, sa bouche chercha la mienne et il fit glisser ma veste de mes épaules. Ses mains dézippèrent la fermeture de ma jupe, elle chute sur la moquette. Il se recula. — Putain que tu es belle, tu me fais bander, regarde, mais ne rit pas ! Par rapport à celle des noirs qui t’ont baisée, la mienne est une mico-bite. Il baissa son pantalon et quitta sa chemise. Effectivement, il bandait, son érection devait atteindre 10 centimètres au maximum. Je souris. Il s’avança et me poussa sur le lit. — Reste ainsi avec tes bas, ton porte-jarretelles, ça m’excite. Putain que tu es belle ! Je ne me lasse pas de te regarder, et tu aimes te faire baiser par des noirs avec des queues immenses, petite Salope ! Il se mit à genoux entre mes cuisses et sa bouche se plaqua sur mon sexe, sa langue parcourut mon mont de Vénus ou le sperme d’Ephraïm, avait laissé une pellicule qui restait accrochée à ma pilosité naissante. — Attends, il y a assez longtemps que je ne me suis pas rasée. Aurais-tu un rasoir et de la crème, je voudrais que tu m’ôtes ce petit duvet. Il fit un aller et retour éclair jusqu’à la salle de bain et revint avec les ustensiles demandés. — Bien, rase-moi, ensuite tu pourras profiter d’une ...