1. Attirance éternelle - Retrouvailles à un mariage (1)


    Datte: 01/05/2023, Catégories: Hétéro Auteur: MorganeStories, Source: Xstory

    ... tourne, monte, descend, ajuste la pression selon les vibrations de mon corps qu’il connaît déjà. La tête en arrière, debout devant cet homme à genoux devant moi, je laisse les vagues de plaisir m’envahir. Mes yeux se ferment et je sens ce point de bonheur, d’excitation indescriptible grandir dans mon bas-ventre.
    
    Mes gémissements encouragent mon amant dont la langue entre dans la danse. Il me lèche et me caresse, il me goûte. Ses mouvements sont variés, sensuels. C’est trop bon.
    
    Mon plaisir monte d’un cran, et mes doigts se posent sur son crane pour qu’il n’arrête son châtiment sous aucun prétexte.
    
    — Nicolas, tu vas me faire jouir. Ne t’arrête pas.
    
    Au bord de l’orgasme, Nicolas se détache de moi, et me regarde. A bout de souffle, mes yeux s’ouvrent. Frustration et incompréhension m’enveloppent. Pourquoi ? Pourquoi arrêter maintenant ?
    
    — Demande-moi de te faire jouir. Je veux que tu le dises. Supplie-moi de te faire monter au 7ème ciel. Je veux t’entendre, il chuchote.
    
    Je reprends mon souffle et mes esprits, avant de lui susurrer, d’une voix assurée : « Je veux que tu me fasses jouir avec ta langue puis tu vas me baiser sur ce sol, sur cette table, et sur cette chaise. » Je lui montre ...
    ... du doigt. « Je veux te sentir en moi, tout au fond. Je veux te goûter, je veux te sucer, je veux ton corps sous le mien, derrière le mien, assis, couché, debout. Donc maintenant, je lui dis en écartant de nouveau mes jambes tremblantes perchées sur mes talons aiguille, donne-moi cet orgasme dont tu me parles tant. »
    
    Ma confiance et mon ton si posé m’étonnent. Il me regarde avec des yeux qui brillent d’excitation. Ses doigts glissent de mes seins à mon sexe en feu, puis sur mes cuisses.
    
    D’un mouvement de langue, il reprend son travail, tel un affamé. Il le fait pour moi, mais il le fait pour lui. Ses mains sur mes fesses, il me dévore. Je baisse les yeux pour le voir, dur comme de la pierre dans son costume des grands jours.
    
    Mon corps frissonne, des vagues de plaisir, de chaleur, me prennent tout entière pour finalement exploser dans un final magique. A bout de souffle, je glisse le long du mur, nue, assouvie, heureuse. Je suis maintenant assise, en face de lui.
    
    Mes lèvres se posent sur les siennes, et je goûte ma propre jouissance sur sa bouche.
    
    — Maintenant qu’on a merdé, autant que ça vaille le coup, je lui dis dans un sourire.
    
    Je le renverse sur le dos et l’enjambe.
    
    A suivre... 
«123»