Nos Belles Pyrénées (3)
Datte: 30/04/2023,
Catégories:
Gay
Auteur: Calinchaud, Source: Xstory
... c’était plus le même calibre. Pierre m’a fermement tenu par les hanches jusqu’à ce que son pieu monumental se soit entièrement introduit en moi.
Sa pénétration devenait de plus en plus forte et puissante, me possédant de toute la longueur de son membre avec la fougue d’un homme en manque de sexe depuis longtemps. Par réflexe, je me suis accroché à Laurent, mes mains sur sa poitrine velue, subissant les formidables assauts de Pierre. Laurent n’a pas manqué de se réveiller, comprenant très vite la situation, peu ordinaire, et s’est tourné pour posséder ma bouche pendant que son frère envahissait l’autre côté de mon corps.
Notre complicité à tous les trois a été quasi-immédiate. La recherche du plaisir commun, le bien-être, sans jalousie aucune de l’un vis-à-vis de l’autre. Pour la première fois de ma vie, du moins en France, j’étais la « femme » de deux frères, aussi viril l’un que l’autre et qui semblaient apprécier cette situation quelque peu particulière.
Après avoir été pris par l’un et par l’autre à plusieurs reprises, je me suis quand même endormi vers 4 heures du matin, rempli de la substance de mes mâles, ma peau couverte de leur splendide fragrance masculine.
J’ai ouvert l’œil vers 9 heures et revêtu d’un Tee-Shirt assez long, je suis descendu, me rendant jusqu’à la cuisine où Laurent m’attendait.
— Salut Marc, pas trop fatigué ?
Avec un sourire en coin...
— Oui... Un peu quand même... Mais vous êtes des vrais diables tous les deux... !!!
— Il ...
... ne faut jamais sous-estimer les Basques...
— J’ai vu ça... Je n’ai jamais connu ça... !!!
— Tu nous en veux pas ?
— Bien au contraire, j’ai trop aimé.
— Tu dois avoir faim après ça... Je t’ai préparé un petit-déjeuner. Pierre est déjà parti au travail, les bêtes n’attendent pas.
Je n’avais pas trop fait attention, mais devant mes yeux, un splendide plateau m’attendait. Pain, beurre, brioche, confiture de cerises rouges, Chocolat de Saint-Jean-de-Luz, Etorki... Une splendeur que je n’ai pas tardé à dévorer, accompagnée d’un café que Laurent m’avait préparé à ma demande.
— Marc, on a parlé avec Pierre pendant que tu dormais encore. Tu m’as dit que tu ne reprenais ton travail que demain après-midi... Tu aimerais rester avec nous ce dimanche et ne repartir que demain matin ?
— Je... Je crois que j’en serais trop heureux Laurent, je me sens bien avec vous deux.
— Tu es le bienvenu chez nous Marc... Et... Merci...
Avec une voix un peu serrée,
— J’y mets une condition, OK ?
— Laquelle ?
— Tu as du travail toi aussi, et si tu m’y autorises, après une bonne douche, j’ai envie de m’occuper aussi de mes hommes.
— Ah oui ? C’est-à-dire ?
— Comme j’adore cuisiner et si tu me laisses faire, je nous prépare le déjeuner à tous les trois pour que tout soit prêt lorsque vous allez rentrer... Tu es d’accord ?
— Un garde-manger basque est toujours bien rempli... A toi de trouver ton bonheur... Tu as carte blanche... A tout à l’heure, je pars rejoindre ...