1. Aurore ou la voie de la soumission (5)


    Datte: 30/04/2023, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Axelya, Source: Xstory

    ... pendant plusieurs jours. Je suis en larmes, au bord de l’évanouissement. Je trouve tout de même la force de prononcer le dernier chiffre salvateur.
    
    « Je suis content de toi, dit Maître Luc, Cécile va t’offrir ta récompense. » Ma Maîtresse se glisse entre mes jambes, le gode collé contre mon sexe. Elle écarte les grandes lèvres. Elle fait aller et venir sa verge artificielle en prenant soin de frotter mon clitoris. D’un chatouillement désagréable car les chairs sont encore sensibles, la sensation se mue en une stimulation délicieuse.
    
    — Regarde-moi, me dit Maîtresse Cécile après m’avoir craché au visage. Maître Luc m’a accordé un grand privilège, petit cœur, celui de prendre ton pucelage.
    
    — Oh non, s’il-vous-plait !
    
    Je regrette aussitôt mes paroles. Maîtresse Cécile se moque éperdument de mon avis, elle pointe le gland du gode à l’entrée de mon vagin et pousse, écartant les chairs, déchirant l’hymen. Elle fait de moi une femme, mais pas de la manière que j’avais imaginé. J’ai mal. Ce n’est pas la même douleur que précédemment, quand les hommes m’ont sodomisée. Mais l’excitation est trop forte. J’ai besoin d’un orgasme, pour me libérer de toute la tension accumulée, pour qu’à la douleur succède le plaisir. Maîtresse Cécile me prend comme un amant le ferait. Ses coups de reins font monter le désir, les ondes de plaisir se répandent dans mon ventre.
    
    Je n’oublie pas de demander l’autorisation de jouir. « Mais oui, dit Maître Luc. Entendez là soupirer comme une petite ...
    ... truie messieurs… »
    
    Je n’ai pas le temps de me remettre de l’orgasme.
    
    — Tu croyais que je ne prendrais pas ma part ? me demande Maîtresse Cécile.
    
    Je la vois saisir le gode et le faire passer de ma fente à mon anus. Je n’ai plus la force de protester quand elle s’enfonce dans mes reins. Mes sphincters se sont refermés depuis la séance du salon mais, heureusement, la verge est lubrifiée par ma mouille. Maîtresse Cécile m’encule longuement. Elle y prend visiblement beaucoup de plaisir.
    
    Quand elle en a fini, Maître Luc reprend la parole : « le docteur Quinte nous fait l’amabilité de nous offrir, mes amis, le clou de cette soirée, si j’ose m’exprimer ainsi. Qu’il en soit remercié. » Le médecin fouille dans son sac. Il en sort une pince chirurgicale qui rappelle les instruments utilisés pour les clampages. Avec un coton il applique une solution antiseptique sur mes mamelons et mon sexe. Le picotement qu’elle provoque est très désagréable.
    
    Maître Luc se penche sur moi. Il me caresse l’épaule avec douceur.
    
    — Ne m’as-tu pas dit que tu souhaitais te faire percer ? dit-il.
    
    Je repense à ces fois où j’ai pensé à me scarifier. Surmonter la douleur. Dompter mon corps.
    
    — Oui Maître.
    
    — As-tu le courage d’endurer cette épreuve pour moi ?
    
    — Oui Maître, je suis prête.
    
    Après avoir saisi la pointe de mon sein gauche, le docteur Quinte referme la pince dessus. La pression exercée par le métal me fait sursauter. Je le regarde avec effroi approcher une aiguille de mon ...
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