Pour un simple verre d'eau (2) - Histoires de Sexe

Pour un simple verre d'eau (2)

... immédiat ! La douceur et la fraîcheur de la chantilly associée à la chaleur et la douceur de sa langue me provoquèrent une véritable érection. Je bandais à tout rompre, mais il était hors de question que je me laisse faire sans réagir, alors avec force et douceur, je lui saisit les jambes et l’allongeais à côté de moi. Je saisis la bombe de chantilly, insérais l’embout entre ses grandes lèvres et appuyais sur le bouton. Dans un pchiiiitt bruyant, la chantilly lui écarta les grandes lèvres en lui remplissant sa petite minette. Marie très occupée à lécher la chantilly et à engloutir mon sexe réagit uniquement en faisant un humm.

Une fois de plus, je l’incitais avec douceur à passer sa jambe au-dessus de moi pour me retrouver face à cette merveilleuse petite grotte débordant maintenant de crème. Je la léchais comme un affamé ! Le mélange de la crème, de son goût, de nos goûts était simplement divin ! Un véritable orgasme culinaire !! Plus hardi que la première fois, je me permettais maintenant de laisser ma langue lécher son clitoris, s’enfoncer dans sa grotte, ressortir en glissant sur sa petite rondelle. A chaque passage, je la sentais palpiter sous ma langue. Au passage suivant, enivré de son goût, galvanisé par ses caresses buccales qui n’en finissaient pas d’avaler ma tige tout entière, ...

... j’appuyais avec ma langue sur cette petite étoile et la sentais s’ouvrir doucement. Un petit mouvement de bassin suffit pour que ma langue progresse de quelques centimètres dans cet orifice tout doux.

Visiblement surprise, Marie marqua un petit temps d’arrêt, souffla et reprit sa gourmandise à la chantilly avec plus d’entrain. Maintenant, je ne cherchais plus vraiment à découvrir son corps, dans ma tête, je voulais juste me repaître d’elle, de son corps, la dévorer. J’étais gourmand, vorace ! Ma langue léchait la chantilly, ma bouche attrapait au passage son clitoris en l’aspirant doucement, le caressant du bout de ma langue, puis la saisissant par les hanches, je la forçais à descendre plus profondément sur ma bouche pour enfoncer plus loin ma langue dans sa grotte toute mouillée. Je marquais une toute petite pause, repris ma pression sur son bassin et je finissais de pénétrer cette jolie petite étoile qui me cédait le passage. Les parois étaient douces et brûlantes, à chaque va-et-vient, je sentais son orifice se détendre de plus en plus, je sentais Marie vibrer encore plus fort.

Marie se redressa en prenant appui sur mes cuisses. Sournoisement, je profitais de cet instant et de sa position pour la saisir par les hanches et lui glisser toute la longueur de ma langue dans son joli petit cul...