1. Nymphomane, moi ? Tome III (19)


    Datte: 29/04/2023, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Trixie, Source: Xstory

    ... son bassin se souleva, son corps se tendit en arc de cercle, son sperme gicla dans ma chatte. Il éjacula longtemps. Maxime avait stoppé ses pénétrations anales, pour bien laisser son copain jouir.
    
    — A moi maintenant dit-il !
    
    Il se coucha à son tour sur le dos.
    
    — Viens ici ma chérie, met toi de dos, écarte bien les jambes, oui ainsi.Non, ne mets pas ma bite dans ta chatte, je veux continuer à te sodomiser, Ouuuuiiii, là, c’est bien.
    
    — Je soulevai mon bassin pour lui permettre de bien enfiler sa queue au fond de mes entrailles.
    
    Sa main se plaqua sur ma chatte, ses doigts entrèrent dans ma vulve du sperme de Gérald coula et se répandit sur la bite de Maxime, jouant un rôle de lubrifiant.
    
    — Putain je vais jouir, je vais jouir...
    
    — Moi aus..... Oooooohhhhhh, putain que c’est …
    
    Nos cris de plaisir se mêlèrent, aux cris des oiseaux, le brise marine les emporta au loin.
    
    La nuit tombe vite sous les tropiques, après un bon apéro, Alfred nous fit partager un repas succulent servi par Victor. Nous étions tout à la joie de nos retrouvailles, et des prochaines vacances que nous allions passer ensemble. Les garçons un peu fatigués par le voyage et le léger décalage horaire, ne voulurent pas veiller trop tard.
    
    — Bonsoir mon oncle, bonsoir Trixie dit Maxime, tu es toujours croquante vêtue ainsi ! Dis donc vieux pervers, même ici, tu veux que Trixie, te montre en permanence ses trésors ! Mais tu as raison, habillée ainsi avec sa nuisette qui laisse sortir ses ...
    ... mamelons, ses bas et son porte-jarretelles et surtout avec sa chatte offerte aux regards, elle fait tourner la tête de n’importe quel mâle !
    
    Moi aussi, j’étais un peu lasse, fatiguée, je me dirigeai vers ma chambre. Je voulus aller refermer la grande baie vitrée qui donnait sur le jardin, mais la tête me tournait et je m’écroulai sur le lit.
    
    Il me sembla, que dans une sorte de brouillard irréel, je voyageai, que l’on me déplaçait. Lorsque j’ouvris les yeux, j’étais étendue sur une table de pierre dans une clairière entourée de plantes luxuriantes, une multitude de torches l’éclairaient comme en plein jour. J’étais habillée de ma nuisette, de mes bas et de mon porte-jarretelles, et mes talons aiguilles.
    
    Je soulevai ma tête et poussai un cri. Entre mes cuisses, il y avait une tête hideuse. Noire, les yeux injectés de sang, une moustache noire, de longs cheveux filasse et ce qui était étonnant deux petites cornes de chaque côté du front.
    
    Il se mit à parler dans un dialecte que je ne compris pas, les seuls mots que je réussis à assimiler, furent que la luxure devait être combattue par la luxure. C’était très étrange, je ressentis toutes les sensations, la crainte, la peur, mon pouvoir de réflexion était intact, je pus bouger, mais mon esprit ne pouvait pas se soustraire à une force qui annihila toute volonté de résistance, j’étais soumise au bon vouloir de l’être qui était devant moi, et cela commençait à me plaire... Un frisson délicieux parcourut mon corps, j’allai ...