Le charme fou de l'Asie (7) - Histoires de Sexe

Le charme fou de l'Asie (7)

... Dialo et Christelle sont parties avec elle.

— En fait, elle a adoré notre manière de vivre, me raconte Marième. Papa et maman sont rentrés tard le soir avec elle. On était au salon et on les attendait. Dialo, moi et Amy et on était excitées, car papa nous a dit que c’était ta protégée.

— Et que s’est-il passé ?

— Son entrée fut très théâtrale, venir presque nue avec un collier et promenée comme une petite chienne. C’était très beau. Papa l’a mise entre Amy et moi. Christelle, Dialo et Papa se sont installés en face de nous. Papa a ouvert sa braguette en nous présentant l’un après l’autre. Christelle a demandé à Dialo de faire une fellation à papa et Kasino était de plus en plus surprise. Nous lui avons expliqué notre mode de vie et j’ai commencé à la caresser, mais tu sais, elle était trempée, cette petite chienne. Elle aimait la situation et je lui racontais nos plaisirs pendant que nous la branlions. Je lui disais « tu aimes être une putain ? Une petite chienne qui va nous obéir et nous allons te faire jouir comme jamais tu as joui. Regarde mon frère qui suce mon père. Et elle regardait ! A un moment, elle s’est laissée aller. Elle a joui et se mordant les lèvres. Si tu avais vu cela, mon Jean adoré, oh ce qu’elle était jolie. Tu as vraiment choisi une perle. On l’adore.

Pendant cette discussion, Marlène n’a pas pu s’empêcher de mettre la main sur ma bite et malaxe mes couilles devant son père.

— Cela te fait bander mon Jean, on dirait que tu aimes cela, me ...

... dit Marlène.

J’avoue que je ne peux pas me retenir devant cette salope et à un moment, je la regarde et elle comprend ce que je veux. Elle sort ma queue et se met à me sucer devant son père.

Robert continue l’histoire comme si de rien n’était.

— Tu sais Jean, elle m’a plu tout de suite ta Kasino alors pendant que Dialo me préparait pour être bien dur, j’expliquais à ta chérie, ce que j’allais lui faire.

Lorsque je l’ai vue jouir juste en se faisant branler et lécher l’oreille par mes deux filles, j’ai compris que nous avions une championne du monde qui était prête pour tout accepter.

Je me suis levé, lui ai dit de me montrer son cul. Elle s’est mise en position et je l’ai embrochée. Elle a hurlé de douleur, car ma queue est comme un arbre, tu le sais bien. Je l’ai ensuite prise dans sa chatte puis remise dans son cul. À nouveau, elle a bien souffert. Tu sais que cela m’excite. Ils me regardaient tous. Et j’ai recommencé plusieurs fois, toujours en prenant mon temps afin qu’elle me sente à fond.

Personne n’a bougé tant que je la défonçais. J’ai même cru qu’elle allait s’évanouir, alors j’ai ralenti pour qu’elle reprenne son souffle, mais tu sais quoi ?

— Quoi ? je suivais son discours, mais la bouche de Marlène est un vrai délice et je me retenais.

— A un moment, elle m’a dit : encore ! nous avons tous été surpris, car seule Christelle est assez maso pour me supporter, mais ta chérie, elle en a redemandé, nom de zou, ce fut le déclic pour moi. J’ai lui ...