-
Stéphanie
Datte: 29/04/2023, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: bytrouchard, Source: Literotica
... longtemps. - J'ai juste essayé d'être juste. - Vous avez essayé d'être juste? Vous nous avez poussés au travail, vous nous avez humiliés tout en nous faisant travailler presque sans repos. - J'ai travaillé très dur moi aussi! - Mais vous repartez avec des millions d'euros, alors que nous aurons de la chance si les nouveaux patrons conservent nos emplois. - Je n'ai pas à supporter ça! Je m'en vais! Les deux cadres se regardent et sourient tandis que je me lève et me dirige vers la porte de l'appartement. Je l'ouvre et quand je mets un pied dehors, je sens des décharges électriques qui traversent mon corps. Ça vient du collier qui m'électrise. C'est tellement brutal que je m'effondre sur le sol, mon corps tremblant des décharges qui le traverse. Je reste comme ça jusqu'à ce que Georges me ramène dans l'appartement et ferme la porte. - Vous resterez dans cet appartement pendant la durée de votre contrat de services personnels. - Et quelle est la durée? - Cinq ans! - Vous plaisantez? Cinq ans? Je suis coincé ici pour cinq ans? - Oui, sauf si nous décidons de vous laisser sortir pour une quelconque raison. - Et mes vêtements? Et la nourriture? Et tout le reste? - Puisque vous en parlez, il faut aller de l'avant. Déshabillez-vous! - Sûrement pas! - Nous pouvons vous punir avec ce collier, même à l'intérieur de l'appartement. - Conneries! Je sens alors un léger picotement sur le cou. Je regarde les hommes qui ont un grand sourire ...
... sur leurs visages. - C'était juste pour vous montrer! Voulez-vous vraiment que nous augmentions le niveau de douleur? - Vous n'allez pas oser? - Bien sûr que si! Vous avez humilié beaucoup de personnes, il est juste que vous goûtiez vous aussi à l'humiliation. Je me tourne alors vers Georges : - Pourquoi les laisses-tu me faire ça? - Pour l'argent et l'opportunité de participer à votre humiliation. - Assez de discussions! Déshabillez-vous maintenant! Je sens les picotements augmenter autour de mon cou, mais ça reste à un niveau de douleur acceptable. Je ne sais pas exactement ce qu'ils veulent, mais je ne veux plus de grosses décharges électrique comme tout à l'heure. Je retire lentement ma veste que je pose sur le dossier d'une chaise. Je regarde les trois hommes. Ils ont des sourires vicieux et déterminés. j'enlève mes talons hauts et je les mets sur la chaise. Puis je m'arrête. Ils continuent de sourire. - Continuez! Je porte une jupe classique. Je défais la ceinture, puis je déboutonne le bouton juste au-dessus de la fermeture éclair sur le côté. Je m'arrête et ils me font signe de continuer. Je dézippe la jupe et je l'enlève. Je la plie soigneusement et je l'ajoute sur la chaise. - Le chemisier maintenant! - Vous aimez vraiment ça, n'est-ce pas? Bande de salauds. - Oui nous apprécions. Et nous sommes des salauds oui. Continuez! Je les regarde en déboutonnant mon chemisier blanc. Il n'était pas fermé jusqu'à mon cou, mais il ne ...