1. Petit conte de Noël


    Datte: 28/04/2023, Catégories: ff, Oral 69, Humour merveille, Auteur: Laetitia, Source: Revebebe

    ... Je…
    — Je ne vous plais pas ?
    — Si si… Vous êtes… très jolie Léna…
    — Vous aussi ! D’ailleurs, je ne vous ai même pas demandé votre nom !
    — Laetitia.
    — Vous venez, Laetitia ?
    
    Allongée sur mon canapé, j’étais tout occupée à embrasser Léna, la lutine. Mes mains couraient sur son corps. Non, on va plutôt dire que je la pelotais fermement. Puis j’ai essayé fébrilement de détacher sa ceinture. Enfin, j’ai réussi, et j’ai écarté les pans de son manteau rouge et blanc. Dessous j’ai découvert un corps mince plutôt bien fait. Léna a la peau mate, juste relevée par une parure soutien-gorge et shorty, noirs, débordant de dentelles. Finalement, les dessous des lutines, ainsi que leurs corps ressemblent à s’y méprendre aux dessous et aux corps de filles humaines, hormis peut-être les oreilles pointues. Les oreilles justement :
    
    — Est-ce que les oreilles sont des zones érogènes chez les lutines, demandais-je naïvement
    — Parfois oui, quand on joue avec !
    
    Je ne me le fais pas dire deux fois. Je passe ma langue sur une de ses oreilles, puis prends le bout pointu dans ma bouche pour le sucer, ce qui n’a pas manqué de provoquer des gros soupirs à Léna. Nonobstant, je glisse un doigt sous la dentelle de sa culotte. Les lutines mouillent autant que les humaines. Voilà le constat suivant que j’ai pu faire. Tiens, par contre, elles n’ont pas de nombril ! Bizarre ! Je glisse un doigt de l’autre main sous le soutien-gorge, afin de constater que les lutines ont aussi les tétons érectiles ...
    ... lorsqu’elles ressentent de l’excitation…
    
    — On passe aux choses sérieuses là tout de suite, me dit-elle en ôtant ses sous-vêtements, en me repoussant sur le canapé et en ouvrant mon peignoir. Oublions ces amuse-gueule, on se mange le minou d’emblée, si vous voulez bien Laetitia.
    — Ça a le mérite d’être direct !
    
    Aussitôt dit, aussitôt fait, Léna m’enjambe et s’allonge sur moi tête-bêche.
    
    Je crois qu’on va se donner du plaisir rapidement. Au diable les fioritures. De tendres léchouilles, nous passons vite à du léchage bien plus actif. Je joue les exploratrices en lui glissant un doigt furtivement dans la grotte. Histoire de faire bonne figure, elle n’est pas en reste.
    
    Ça ne manque pas, à ce régime-là, nous jouissons sans tarder. C’est très vite un festival de petits cris, de râlements, de spasmes, puis de couinements divers et variés. Enfin quelques soupirs de bonheur s’échappent de nos lèvres. Les lutines sont aussi expressives que les humaines dans de pareilles circonstances.
    
    Nos corps se relâchent et nous passons de la position tête-bêche à la position empilage l’une sur l’autre, mais, cette fois, dans le même sens.
    
    — Tu es ma première humaine…
    — Et toi, ma première lutine…
    — J’suis crevée là. La téléportation m’a vidée !
    — Pas de soucis, on va dormir, on fera le point demain matin. Je crois que c’est mieux.
    
    Nous prenions notre petit déjeuner ensemble, après une nuit de sommeil réparateur, serrée l’une contre l’autre.
    
    Léna feuilletait un magazine ...
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