1. Nos Belles Pyrénées (4)


    Datte: 28/04/2023, Catégories: Gay Auteur: Calinchaud, Source: Xstory

    J’étais flatté d’une telle confiance, après tout, on ne se connaissait que depuis quelques heures, mais une franche complicité entre nous trois s’était instaurée d’une manière quasi immédiate.
    
    Ils m’avaient comblé toute la nuit, la veille, Laurent m’avait régalé de plats Basques, alors, j’ai voulu leur préparer un bon déjeuner quand ils rentreraient du travail... Mais à ma façon, à la Niçoise.
    
    Après avoir scruté les réserves, plus qu’abondantes, j’avais fait mon choix, au vu des multiples ingrédients dont je disposais.
    
    Pissaladière, avec oignons, olives et anchois, accompagnée d’une salade mélangée, ratatouille au piment d’Espelette, belles côtes de porc et pour finir, un flan aux œufs aromatisé de zestes de citron et à l’Izarra au lieu du Rhum habituel.
    
    Je me suis rapidement mis à l’œuvre, calculant mon timing pour 13 heures, au moment où Laurent m’avait dit qu’ils allaient rentrer...
    
    Ils sont arrivés un peu plus tard, prenant de l’avance dans leur travail pour être davantage disponibles dans l’après-midi.
    
    Sans façon, nous nous sommes installés à la cuisine où je pouvais à la fois les servir et surveiller mes cuissons. Ils se sont régalés, de tout... Comme quoi, le dicton dit vrai :
    
    — Un homme c’est comme une casserole, on lui remplit le ventre et on le tient par le manche.
    
    Nous nous sommes assis au salon pour le café, mais si leur ventre était repu, ce n’était pas le cas de leurs manches dont les tailles permettaient une bonne prise en mains. Ils ...
    ... exhibaient, tous les deux, une érection à faire peur.
    
    Je m’étais déjà fait baiser à deux au Maroc, par mon ex et soit son frère, soit son cousin. Ce n’était que du sexe à l’époque, mais avec mes Basques, je ressentais quelque chose de différent. Bien sûr, ils étaient hyper en manque, donc bien chauds, mais aussi, cette complicité entre nous trois, et une tendresse certaine aussi.
    
    Assis entre eux deux, leur fragrance de mâles hyper-virils m’a envahi et je me suis laissé aller dans leurs bras, puissants et velus. Nus en quelques secondes, ce n’était que mélange des corps, de baisers, de caresses. Pendant que je m’appliquais à sucer au plus profond possible l’énorme membre de Pierre, Laurent malaxait mon puits d’amour de ses doigts, puis sa langue s’est posée dessus, pour me préparer à une pénétration que je savais imminente. Il s’est introduit en moi d’un trait, tellement j’étais excité par le pieu colossal de Pierre et ses couilles si grosses, si pendantes, dégageant des effluves qui me rendaient fou.
    
    Dans une synchronisation quasi parfaite, leur nectar s’est déversé dans chacun de mes orifices, le mien fusant sur le ventre de Pierre, alors que je ne m’étais même pas touché. Le vrai orgasme anal, que j’avais déjà atteint quelquefois, mais assez rarement.
    
    Malgré sa jouissance, Pierre restait toujours aussi dur, et après m’avoir tourné vers lui, il m’a embroché comme un poulet. Il m’a possédé avec force, ou je dirais plutôt avec fougue, le sexe de Laurent ayant repris ...
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