Le maître des fouets (4) - Histoires de Sexe

Le maître des fouets (4)

... sur sa muqueuse interne. En parfait expert, Antoine ne met pas longtemps à trouver le point le plus sensible de son corps.

Pour plus de sûreté, Antoine introduit sa main gauche dans le rectum de Julie en remuant avec force.

Ainsi sollicitée de part et d’autre, Julie ne tarde pas à exploser dans un orgasme d’une puissance rare ponctué par des cris perçants.

Antoine estime alors sa mission accomplie et il rejoint le hall du château où trois nouvelles clientes viennent d’arriver. Sans attendre, il leur demande de s’allonger sur un divan et de replier les jambes. Puis Antoine se munit de trois cordes et il ligote les trois jeunes femmes avant de leur asséner quelques coups bien placés au moyen d’une lanière en cuir.

Il va ensuite chercher deux de ses collègues : Simon, le réceptionniste, un jeune homme petit et râblé, mais bien monté, ainsi que Carl, le cuistot, un grand gaillard bâti comme une armoire à glace.

Les trois collègues choisissent chacun une des trois clientes. S’agenouillant devant les fauteuils, ils découvrent trois vulves lisses qu’ils lèchent de haut en bas et de bas en haut. Les trois langues montent et descendent dans les trois crevasses, faisant doucement piailler les trois jeunes femmes.

Puis les trois hommes optent pour une approche digitale : les trois index viennent titiller les trois clitoris bien dégagés, et les clientes haussent le ton.

Dans le même temps, les trois amis se préparent pour l’étape suivante en se paluchant chacun de ...

... son côté.

Quand ils sont bien chauds, les trois hommes donnent l’estocade : de son bureau qui surplombe le hall, Maxime voit distinctement trois bites bien raides s’enfoncer dans trois chattes bien moites.

Antoine a complètement rentré son phallus circoncis alors que la longue pine de Simon n’a disparu qu’à moitié. Quant à Carl, il a dû forcer pour enfoncer sa grosse queue dans la cavité étroite de sa partenaire. Les trois collègues tentent de se synchroniser, dans un va-et-vient simultané qui démarre lentement et qui va crescendo. Les trois jeunes femmes n’arrivent bientôt plus à retenir des hurlements sonores. Les trois amis se déchaînent tant qu’ils peuvent, les gratifiant d’une série d’orgasmes de plus en plus intenses.

Maxime les regarde, satisfait du travail accompli par ses employés :

— Bon boulot, les gars ! Continuez comme ça !

Boostés par les encouragements de leur chef, les trois amis honorent à nouveau leurs partenaires jusqu’à plus soif !

Éreintés, ils se précipitent alors au bar pour siroter une boisson énergisante.

Quand Antoine revient dans le hall, il détache les trois clientes et leur dit :

— Alors mesdames, heureuses ?

— Très ! dit l’une.

— Fantastique ! dit la seconde.

— Génial ! dit la troisième.

Antoine savoure leurs paroles et les laisse repartir auprès de leurs conjoints respectifs. Des encouragements comme ceux-là, il en a tous les jours !

Puis il part se reposer, car le lendemain, il attend la visite d’un groupe ...