Le Manoir des Vices (15) - Histoires de Sexe

Le Manoir des Vices (15)

... ouuiiiii les fiiiilles !!!!!!! hurle-je sans plus aucune retenue désormais.

Je ferme les yeux et me laisse emporter par cette tempête de plaisir qui éclate dans mon intimité et se repend en un instant partout en moi, électrisant chaque cellule constituant mon corps. Je sens mon entrejambe brûler, jouir tellement qu’une vague de mon liquide intime s’en échappe… Bon sang, j’ai l’impression de mourir de plaisir tant cet orgasme est puissant. Melissa et Coralie continue de me lécher comme deux affamées tout le temps de ma jouissance afin de la prolonger le plus possible, que c’est booooon…

Après quelques instants de pur plaisir où mon esprit s’est échappé, je reviens à moi pour voir mes deux amies s’embrasser passionnément, se partageant les restes de ma liqueur intime à grands renforts de langue et de salive échangées. Puis Coralie, désireuse de jouer encore avec son amie, l’allonge au sol et écarte ses cuisses. Souriante, elle vient se placer entre ses jambes et colle son intimité, elle aussi perlante de plaisir, contre celle de Melissa et commence à remuer doucement, fusionnant leurs lèvres intimes dans un baiser vaginal d’une tendresse et d’un érotisme torride. Melissa, roucoulante de plaisir, s’allonge au sol tandis que Coralie reste à genoux, leurs deux corps à l’équerre et moi, je me redresse et profite du spectacle, le corps et l’esprit encore enveloppés dans le cocon de mon orgasme.

-Mel… Oooh Mel… soupire Coralie en se frottant contre ...

... son amie.

-Continue… répond cette dernière. Ne t’arrête surtout pas… Jamais…

Qu’elles sont belles ainsi… Leurs corps se frottant l’un à l’autre, leurs visages se crispant de plaisir, leurs entrejambes mouillant de plaisir et émettant de doux bruits terriblement érotiques.

Je ne résiste pas à l’envie de les rejoindre. Enjambant Melissa, je colle mon entrejambe encore terriblement sensible sur sa bouche. Aussitôt, sa langue repart à l’assaut de cette terre déjà conquise par elle quelques minutes auparavant et fait remonter mon plaisir en flèche. Deux mains baladeuses viennent caresser dans le même temps ma poitrine. Coralie s’est penchée vers moi et tout en continuant son ciseau intime, elle malaxe avec douceur mes seins et me tend ses lèvres. Je m’en empare immédiatement et nos langues se cherchent, se trouvent, s’enroulent…

C’est un plaisir incommensurable qui s’empare de nous trois au fur et à mesure de notre triple étreinte. Nos corps déjà excités par le plaisir s’embrasent, nos mains se cherchent, nos langues fouillent ou se caressent, nos intimités humides exacerbent nos sensations au paroxysme.

Enfin, nous atteignons le point de non-retour et c’est dans un concert de cris de jouissance et de plaisir, un ouragan de bonheur, qu’un orgasme fulgurant s’empare de nous trois. Nous fermons les yeux, savourant bruyamment et sans retenue ce plaisir indescriptible avant de nous écrouler, nos corps épuisés et totalement vidés par le plaisir.