1. Les sauvetages de Kevin (4)


    Datte: 28/04/2023, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: Yojik, Source: Xstory

    ... vers le plafond. Ils voulaient m’utiliser pour réaliser leurs fantasmes. Eux aussi allaient se servir de moi. J’étais prêt à refuser, mais c’était vrai aussi que je leur devais un service. Et puis ils allaient sans doute m’offrir un beau spectacle, un son et lumière.
    
    Sami : "Je comprends si tu ne veux pas accepter. Mais bon, on avait que toi sous la main et avec qui on est suffisamment en confiance. Alors..."
    
    Moi : "C’est bon. C’est d’accord."
    
    Je lui donnais ma réponse tout en m’astiquant frénétiquement. J’imaginais déjà la jolie Kinga pomper le dard de mon ami, se faire baiser par sa queue d’arabe, jouir, crier sous ses coups de butoir.
    
    Sami : "Merci, merci, merci. A dimanche."
    
    Il raccrocha. J’ouvris alors le dossier dans lequel j’avais rangé leurs photos et finis de me branler sur les images de Kinga. Je ne tardai pas à prendre mon pied et à jouir. Je m’aspergeai le ventre et le torse d’une bonne rasade de foutre. J’étais bon pour un nouveau tour sous la douche.
    
    Donc, aujourd’hui, le couple est venu me prendre en fin de matinée. Le temps est idéal en cette fin mars. Beau et ensoleillé, sans être trop chaud. Kinga a préparé des sandwichs, des boissons. Elle a remis la même jupe que la première fois où ils sont venus me voir. Elle a un top à manches longues qui lui moule le haut du corps. On voit clairement qu’elle n’a pas de soutif. Mais avec sa petite et ferme poitrine, elle peut se le permettre. Sami et moi sommes en t-shirt manches longues et ...
    ... jean.
    
    Nous ne sommes pas très loin du centre, à peine 15 minutes depuis le départ, lorsque Sami tourne dans un petit chemin forestier. La voiture tangue et est secouée un moment avant d’arriver au bout du sentier carrossable. Nous descendons et commençons une marche d’une cinquantaine de mètres. Avec mes béquilles et le terrain plein de racines, de pierres, c’est mon maximum. Ils me font découvrir un petit espace en marge du chemin, coincé entre une haie de muriers et un champ. Les plantations ne sont pas très hautes, mais si nous sommes assis par terre, nous sommes presque invisibles.
    
    Le début du pique-nique est complètement normal. Nous discutons de tout et de rien. De leur formation, ils sont tous deux en plein dans un module sur les risques atomiques, chimiques, bactériologiques. On parle aussi de moi, de mes avancées en terme psychomoteur. De mes amours inexistants. Sami m’a dit qu’il avait un peu demandé à droite et à gauche pour voir si quelqu’un savait où vivait Anne-Sophie, mais personne ne lui a donné de réponse. Ça me rend taciturne, Kinga change alors de sujet. Nous rigolons un bon moment.
    
    On a fini de manger et profitons du soleil. Je sens les deux à côté de moi, impatients de commencer les choses sérieuses. Mais nous n’avons pas défini de plan, de scénario. Sami passe sa main sur la cuisse de Kinga, la caresse, la remonte sous la jupe. Elle a posé sa main sur le ventre de son copain, prête à se faufiler sous la ceinture pour aller tâter la bête. Ma présence trop ...
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