1. Mon éveil de soumise (12)


    Datte: 27/04/2023, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: divinmarkiz, Source: Xstory

    ... s’ouvrir, c’est un peu dur, mais j’ai envie de vous satisfaire.
    
    Comme ces mots étaient doux ! Mes craintes se dissipèrent, mais pas complètement.
    
    J’attendis un long moment, me harnachai de mon gode ceinture et la libérai.
    
    Je pénétrai sans difficulté dans ses fesses et lentement son bassin se mit à bouger et à engloutir mon « membre » ; je pus commencer à la baiser, sans hâte, fermement.
    
    — Fouillez-moi le cul, défoncez-le Fabienne.
    
    Enfin, je me déchaînai jusqu’à ce qu’elle jouisse bruyamment.
    
    — J’ai tellement mal aux fesses ! Mais ce fut si bon !
    
    Allongée à ses côtés, je la serrai dans mes bras en l’embrassant.
    
    Ce fut à mon tour d’être caressée, elle reprit sa tache.
    
    — Je pourrais voir votre sexe en vous caressant ?
    
    — Bien sûr, viens, penche-toi sur ma chatte.
    
    Ses doigts reprirent leur ballet.
    
    — J’aimerais vous poser une question.
    
    Toute à mon plaisir, je ne pus que hocher la tête en signe d’acquiescement.
    
    Son visage était collé à mon entrejambe lorsqu’elle s’exprima.
    
    — J’ai aussi beaucoup de traces blanches à l’intérieur de ma chatte ?
    
    Intriguée, je me relevai pour la regarder.
    
    — Même plus ! Je vais te montrer les photos que j’ai prises plutôt.
    
    Je fis défiler les clichés.
    
    Elle rougit, gênée.
    
    — Le Maître ne va pas être dégouté ?
    
    Je souris « Il est comme moi, il aime les chattes négligées ! »
    
    — J’ai honte de me présenter comme ça.
    
    — Tu as raison et il aime que tu aies honte. Caresse-moi maintenant.
    
    Zohra me fit jouir.
    
    Je lui proposai de dormir chez moi. Elle prenait son service tard le lendemain, elle accepta.
    
    Se tenir l’une à côté de l’autre sans pouvoir se lécher ou se doigter fut un supplice ; on se contenta de se caresser.
    
    Le lendemain matin, rendez-vous fut pris pour sept heures, chez moi.
    
    Je la conduirai chez Pierre.
    
    A suivre
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