L'inconnue du train corail
Datte: 07/09/2018,
Catégories:
fh,
fplusag,
fagée,
train,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
BDSM / Fétichisme
Masturbation
nopéné,
confession,
Auteur: Michel757, Source: Revebebe
... assemblages de ses sous vêtements : la ceinture élastique qui souligne ses hanches, la couture qui dessine sa raie et sépare ses fesses.
Fantasme ou réalité ? Je ne discerne aucune culotte. J’imagine deux globes laiteux enfermés dans la toile fine et brune. Mes rêveries vont bon train et je m’astique consciencieusement en pensant que c’est elle qui me prodigue ses faveurs.
Quand la belle se retourne, les yeux toujours clos, j’ose à peine bouger, je m’assure à l’oreille qu’elle dort toujours.
Maintenant c’est un autre spectacle qu’elle offre à mon imagination : ses deux jambes gainées serrées, ses pieds qui se chevauchent et se frottent gracieusement l’un contre l’autre dans son sommeil. Malgré mon excitation grandissante, je n’ose faire de mouvement ample de peur qu’elle se réveille. J’en suis donc réduit à faire aller et venir mon pouce sur mon membre tendu. Je me dis que de toutes façons, même ces caresses discrètes finiront bien par me délivrer tant la dame avive mon désir.
Mon manège continue quelques minutes et effectivement je sens tout doucement monter les signes avant coureurs du plaisir. Est-ce ma respiration qui s’est accélérée ? Voilà que la belle se réveille et s’assoit face à moi, s’étire comme un chat.
— On a froid à ce que je vois, sont ses premières paroles après avoir rallumé le plafonnier.
Je suis rouge grenat, n’osant ni bouger ni parler. La dame continue alors :
— Êtes-vous vraiment si frileux ?
Et elle se penche vers moi pour ...
... soulever mon imperméable et révéler mon sexe raide comme un piquet.
— Ah, les hommes, tous les mêmes ! dit elle avec un petit rire flûté. Je me sens responsable, continue-t-elle, permettez-vous que j’éteigne le feu que j’ai allumé ?
J’ai à peine le temps de balbutier un oui. Ma charmante mamie a déjà amené son pied gauche sur mon membre qu’elle caresse délicatement. Je n’aurais pas rêvé mieux. Son gros orteil qui frôle ma hampe de bas en haut m’électrise.
— Ils vous plaisent, mes pieds, hein, petit cochon ? J’ai bien vu vos regards tout à l’heure, dit la belle qui a maintenant fait un écrin de ses plantes de pieds pour me caresser.
Ses cuisses grassouillettes écartées face à moi confirment bien ce que j’avais deviné, la coquine est bien sans culotte. J’entrevois juste un protège slip blanc au fond de sa vallée.
Les collants doivent être en soie car la caresse de ses pieds est douce – douce et intense –, je tressaille à chaque va-et-vient. Je me mords les lèvres pour ne pas hurler. Ma tentatrice connaît son affaire. Elle sait quitter mon sexe et caresser de ses pieds mon ventre ou mes cuisses lorsqu’elle sent que je vais défaillir.
Ses grands yeux bleus ne quittent pas les miens. Elle ne se départit pas d’un grand sourire, enjôleur et compréhensif, à chaque fois que je grogne entre mes dents.
Je n’en peux plus. Mes mains caressent ses jambes puis ses cuisses, mais elle me repousse doucement.
— Laissez moi faire, c’est mieux ainsi vous verrez.
A-t-elle ...