1. ELLE, LUI ET MOI


    Datte: 27/04/2023, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: TULIPE, Source: Hds

    ... Vincent, Doris prend ma main et me regarde. Vincent continu avec son va et vient dans mon sexe, il n’a pas fallu longtemps et quelques coups de reins pour que Vincent me fasse jouir, J’étais tellement excitée.
    
    Vincent a goûté notre union, il nous a pénétrés à toutes les deux, il a lapé les lèvres secrètes de Doris que débordait le jus de l’extase. Nos corps exultent en une danse tribale, une bacchanale orgiaque, un triumvirat puissant et irrésistible.
    
    Le regard de Doris est tendre, elle prend ma main et la caresse, la met sur ses seins. Je serre ses tétons doucement, Doris émet de petits gémissements de plaisir et s’allonge sur le tapis, les cuisses écartées, les yeux fermés, sa délicieuse bouche entre ouverte, prenant sans retenue le plaisir que je suis en train de lui donner.
    
    Je descends avec ma bouche par le ventre de Doris, je m’enivre avec l’arôme de son sexe, je glisse mon visage entre ses cuisses, délicatement j’écarte les lèvres de son sexe, mouillés, d’une couleur rose merveilleuse.
    
    Oui, comme cela ! Un peu plus haut ! Me guide Doris en gémissant sous les mouvements de ma langue qui frôle son sexe. Ses jambes entourent mon dos et tremblent de plaisir.
    
    Je suis éperdue de désir et goûtant la douceur de chaque millimètre de son corps, chacune de mes caresses provoque des réactions de plaisir en elle et seconds plus ...
    ... tard, laisse sortir sa respiration retenue se mélangeant avec un cri de plaisir.
    
    L’excitation, la chaleur de la cheminée, on sèche nos bouches, alors nous avons fait une pause pour boire du champagne, reste dans un seau au coin du tapis. Doris assise en face de moi, nos jambes entrelacées, doucement nous caressons nos sexes, en même temps que nous buvons du champagne. Nous nous embrassons assis devant la cheminée, nous nous caressons en nous regardant tous les trois.
    
    Nous restons ainsi de longues minutes, reprenant nos esprits pendant que nos souffles s’apaisent peu à peu. Doris, c’est elle qui rompt la première le silence et, éloignant son sexe mouillé du mien, murmure d’une voix étranglée, quand je pensais que je n’aimais pas les femmes. Je lui réponds, moi non plus, mais tout change un jour ou un autre.
    
    Au petit matin nous nous habillons pour retourner chez, c’est avec une pointe de regrets que je mets mes chaussures avant de partir. Doris nous attend devant la porte, couverte d’un peignoir bleu clair. Vincent embrasse Doris et s’avance vers la voiture, je serre Doris par sa taille, j’embrasse son visage, ses lèvres. Elle glisse ses mains sur mon dos, mes fesses, nous, nous embrassons avec une passion que je n’avais jamais ressentie.
    
    Ses mains lâchent doucement les miennes pendant que je rejoins Vincent dans la voiture. 
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