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Alicia et son papa (19)
Datte: 26/04/2023, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Matt Demon, Source: Xstory
Je montai précautionneusement sur le ventre rebondi du gros Noir étalé sur le sol. Je ne pesais rien sur lui, mais je craignais, Dieu sait pourquoi, de lui faire mal. Jambes largement écartées, je posai les mains sur son torse musculeux et lisse pour me stabiliser. Dans cette position, son puissant mandrin pesait sur ma vulve d’où devait ruisseler un mélange de sperme et de cyprine. Glissant une main sous moi, je guidai la bite érigée entre mes lèvres intimes et reculai lentement. Mon vagin bien lubrifié accueillit sans trop de mal le barreau de chair. Je me sentais béante, distendue, étrangement bien. — Putain les gars, j’y vais en premier, son trou du cul m’appelle, rugit un type sous les éclats de rire des autres. Je ne protestai pas, au contraire, je me cambrai pour offrir mon orifice palpitant qui n’attendait que ça. Pourtant, je criai de douleur quand une queue épaisse et dure comme l’acier m’empala brutalement, sans laisser à mes sphincters le temps de s’habituer au diamètre conséquent de l’intrus. La présence de la gigantesque bite du Noir dans mon vagin rendait sans doute mon anus plus étroit, en tout cas, la douleur vive m’a surprise. Bien sûr, elle n’a duré qu’une poignée de secondes. De toute manière, je ne pouvais plus ni protester ni crier, car une troisième verge s’était enfoncée dans ma bouche. Les larmes aux yeux, je l’ai sucée en gémissant. La suite, je ne sais pas. Je l’ai vécue dans une mêlée confuse, une succession de pénétrations continues ...
... et multiples, de jouissances folles dans l’odeur prégnante de sperme et de sueur. Le matin, je me réveillai et poussai un gémissement de douleur avant même d’ouvrir les yeux. Quand je le fis, les souvenirs revinrent. J’avais été prise par tous les orifices pendant des heures par sept mâles en rut ; oui, les vigiles s’en étaient mêlés en fin de compte. J’avais déjà joui plusieurs fois, je pense que ce sont mes râles d’agonie lors d’un énième orgasme qui avaient eu raison de leur réserve. Ils s’étaient déshabillés rapidement pour se ruer dans la mêlée et me baiser sans fioriture. Je ne demandais que ça, à ce moment, mais maintenant, j’en payais le prix : mon corps n’était que souffrance, mes voies étaient d’un rouge maladif, et je gémis en effleurant mon pubis. Je rejetai le moelleux plaid dont une âme compatissante m’avait couverte et m’étirai. Tous mes muscles protestèrent quand je me redressai. J’étais seule dans le salon, dehors, le jour se levait à peine. Matin blême d’automne annonciateur de pluie, me dis-je. Ma peau tirait, couverte de sperme séché dont l’odeur me fit plisser le nez. La gorge sèche, je bus un grand verre d’eau, réalisai que j’avais faim en entendant mon ventre gargouiller. En fouillant au hasard dans les placards de cuisine, je trouvai des petits pains suédois et du Nutella. Miam ! J’enfournai ce petit-déjeuner rapide, puis cherchai la salle de bain. Facile. Je me douchai longuement, affolée de voir mon vagin et mon anus dégorger des flots de ...