Nymphomane, moi ? Tome III (8)
Datte: 25/04/2023,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Trixie, Source: Xstory
... mon string transparent...
— Regarde-moi ces jambes, une merveille ! Allez Jules, aide-moi à la porter sur le bureau. C’est ton cadeau d’anniversaire. Tu n’en as jamais baisé une aussi jolie blonde ! Attends, avant de l’attacher, quitte-lui son chemisier.
Jules s’exécuta. Alfred sortit les cordelettes, me fit passer les bras au-dessus de la tête, il enroula les cordes à mes poignets et les attacha aux boutons des tiroirs. Au même moment, Jules fit pareil à mes jambes pendantes le long du bureau. Ce fut l’instant où je choisis de me réveiller. La position de mes bras tendus au-dessus de ma tête avait descendu le bord des bonnets de soutien-gorge au ras de mes mamelons, la moitié de mes aréoles était découverte. En ouvrant les paupières, je vis que les yeux exorbités de Jules les fixaient intensément. Je gigotai, en grognant, un mouvement d’épaules fit jaillir mes tétons, hors de leur prison.
— Oh putain, fit Jules !
Ses yeux descendirent sur mon ventre et fixèrent ma chatte à peine voilée par le string, découverte par la jupe courte et ample que j’avais enfilée, qui était remontée jusqu’au nombril.
Le plan se déroulait jusqu’à présent sans anicroche, sachant ce qui allait suivre, cela commença à m’exciter, mais j’attendis avec une certaine impatience la suite, en continuant à me tortiller dans mes liens.
— Bon, dit Alfred, si tu la foutais à poil ! Enlève-lui sa jupe, dit-il en tendant une paire de ciseaux à Jules, tu peux y aller sans crainte, c’est moi ...
... qui lui paye ses habits à cette petite salope !
J’entendis les ciseaux crisser lentement sur le tissu et la jupe tomba à terre. Puis il passa une lame sous le soutien-gorge entre mes seins et le coupa en me jetant un regard graveleux. Les bretelles subirent le même sort. Il ôta ce qui avait été un soutien-gorge, ce geste m’excita, mon buste se tendit en avant, tétons érigés au maximum.
Me regardant dans les yeux, il effleura les pointes brunes offertes avec l’acier froid des ciseaux, il fit mine de les couper, cela me fit tressaillir et elles se dressèrent encore plus, me sembla-t-il. Fier de l’effet produit, en souriant, il descendit la lame froide sur mon ventre, il l’inséra d’un côté du string et coupa, puis fit subir la même chose à l’autre côté.
Alfred, lui, se déshabilla, de me voir ainsi les jambes écartées, offertes sans défense, seulement vêtu de mes bas noirs, de mes talons aiguilles et de mon porte-jarretelles, fit bander son vieux phallus et le tendit comme un arc. Il dut comme moi, penser aussi à ce qui allait suivre.
Cette réflexion commença à m’humidifier la chatte. Et à me faire durcir les seins.
— Salope, tu vas te faire baiser par les deux vieux et tu vas prendre ton plaisir, ne te mens pas, ta chatte est trempée !
— Putain, dit Jules, je sais pas si je lui ai fait de l’effet en la déshabillant, mais on dirait qu’elle mouille et regarde ses tétons, ils grossissent à vue d’œil !!
Alfred sortit alors la cravache et les épingles à linge en ...