La beurette de la cité
Datte: 03/02/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: Domi7000, Source: Hds
... ; j’ai l’impression qu’il va me retourner l’intèrieur de mon ventre comme un gant
-« Alors, ma petite pute, ma bite c’est autre chose que le manche de ta brosse à dents ou la courgette que tu t’es enfilée hier soir…. »
Je suis remplie et défoncée comme je l’ai jamais été.
-« Mais c’est que ma petite salope y prendrait goût ? Je vais te punir pour ton attitude envers tes voisins, tu vas l’avoir dans ton cul maintenant… »
De sa main, il guide sa queue vers mon cul, il la glisse dans ma raie en appuyant de plus en plus. Je suis habituée à me faire enculer de temps à autre, mais là, vu la taille de l’engin, ça va être ma fête !
Mes entrailles son vite remplies, et il commence de longs va et viens, s’enfonçant de plus en plus à chaque fois. Sa bite démesurée me fait de plus en plus mal, surtout qu’il y va sans ménagement, m’arrachant des gémissements puis des cris ; ça a l’air de l’amuser. Il prend plaisir à m’humilier, me faire souffrir, me faire payer mes exhibitions impudiques.
-« Alors, ma petite pute, tu fais moins la fière que sur ton balcon. C’est la première fois que tu te fais enculer comme ça ? Tu vas t’en souvenir, crois moi… »
Et il reprend sa sodomie sans ménagement, il me défonce le cul bien à fond, je sens ses couilles battre mes fesses en cadence chaque fois qu’il arrive en butée.
il me défonce le cul bestialement. En même temps, je prends un certain plaisir d’être ainsi humiliée, moi la dominatrice, cette situation, nouvelle pour moi, ...
... m’excite.
Finalement ça me fait plaisir d’être traitée comme une moins que rien, un objet, un jouet sexuel, faire la putain juste pour le plaisir d’un homme qui m’utilise pour son seul plaisir, sourd à mes plaintes, cambrant mon cul plus que nécessaire sur cette tige monstrueuse ; J’ai envie de le sentir gicler en moi, m’inonder le cul.
Soudain il me retourne brutalement contre la paroi ; je me retrouve face à lui, son énorme bite dans sa main, qu’il secoue comme un forcené. Il se masturbe comme un fou devant moi ; puis il se contracte soudainement, m’envoyant de puissants jet de sperme sur mes seins, sur le ventre ;
il approche son membre entre mes seins pour finir de se vider et s’essuyer sur mon corps.
-« Fous toi à genoux petite pute et lèche tout mon foutre que tu as laissé tomber sur le sol. »
Je m’exécute, excitée par cette nouvelle humiliation.
Puis, du bout de l’index, il récupère son jus sur mon ventre et me le fait sucer, promenant longuement son doigt dans ma bouche, la forçant comme si je suçais une queue.
« Tiens, voila ce que tu mérites, petite pute, petite salope, être souillée avec le sperme de tes voisins. Allez, avale, goûte bien ce jus »
Il ramasse ma culotte et s’essuie la queue avec puis se rhabille.
« Bien, je te raccompagne jusque chez toi. Ramasse tes vêtements mais ne te rhabille pas. Tu vas rentrer chez toi à poil comme ça. »
Heureusement, peu de monde dans la rue ; je cours et me précipite chez moi, mais il bloque la porte ...