Formateur est un beau métier – Violaine - Histoires de Sexe

Formateur est un beau métier – Violaine

... sur ses fesses, les rendant luisantes de salive et de sperme. Ceci finit, je lui dis :

— Voilà… C’est bon.
— J’ai eu un peu peur que vous n’alliez plus loin…
— Je connais les règles.

Elle s’éloigne un peu de moi pour venir prendre des mouchoirs sur le bureau. Après s’être essuyée, elle se rhabille sans se hâter :

— Comment avez-vous su que j’étais partisane d’une éventuelle suite ?
— Vous n’aviez pas rangé votre pendentif.
— Bien observé. En tout cas, vous êtes le premier à avoir osé dans mon bureau.
— Tout le plaisir fut pour moi.
— Tant mieux. Maintenant, ouste, j’ai des trucs à faire. Je vous rejoindrai dans une demi-heure.

Je viens de me faire carrément chasser de son bureau. Néanmoins, je ne vais pas me plaindre d’avoir eu une belle sucette, mais cette femme est décidément un glaçon, même si elle suce bien. Allons reprendre des forces en mangeant mon sandwich au thon !

Quand elle revient, elle m’avertit tout de suite d’un ton sans appel :

— Rien de possible cet après-midi, je dois m’entretenir avec le directeur durant la pause.
— Lui faites-vous parfois des extra ?
— Il ne le mérite pas.

C’est clair et net ! Nous continuons la formation. Quelques heures plus tard, nous sommes arrivés au bout du plan de cours et aussi au bout de l’après-midi. Je fais remplir la paperasserie à ma stagiaire. Entre-temps, je lui demande :

— Au fait, Violaine, vous revoyez parfois les hommes à qui vous avez dévoilé votre pendentif ?
— En général, je ne ...

... revois plus jamais les hommes que j’ai sucés. Sauf s’ils me proposent d’autres possibilités. Dans ce cas, je les récompense à ma façon.
— OK, je vois. Comme desglory holes, des soirées privées ou des parkings à routiers…
— Dans le genre.

Puis elle ajoute en faisant la moue :

— Quoique, le parking à routiers, ça ne me tente pas trop.
— Chacun ses choix. Néanmoins, le parking à routiers est un grand classique pas trop difficile à concrétiser, mais pas sur une aire d’autoroute, car la gendarmerie veille. Mais du côté des relais routiers, il y a de quoi faire…
— Comment savez-vous ça ?
— J’ai deux connaissances qui font ce métier, et j’ai déjà fait des formations pour des routiers. Je suppose que vous connaissez déjà les divers saunas du coin.
— Oui.

Je réfléchis un peu :

— En marge de certains salons de l’érotisme, il peut se passer diverses choses.
— Je sais, j’ai fait.
— Sinon, je possède des contacts, mais c’est plutôt dans le milieu BDSM, avec des soumises, ce qui n’est pas votre cas. Néanmoins, il y a le truc de la box, une sorte de miniglory hole. Une de mes connaissances possède ça dans ses affaires, il s’en sert lors de soirées privées…
— Vous avez de curieuses connaissances…

Je réponds avec humour :

— J’ai parfois de curieuses stagiaires…
— Oui, c’est vrai… (ce qui lui arrache un petit sourire en coin)

Elle réfléchit quelques instants, puis elle dit :

— J’ai votre mail. Si cette box m’intéresse, je vous enverrai un message avec quelques ...