1. Mademoiselle Yvette et le bikini blanc


    Datte: 25/04/2023, Catégories: fh, voisins, poilu(e)s, Oral pénétratio, init, Humour occasion, Auteur: Radagast, Source: Revebebe

    ... très stricts, scolarité dans une école privée catholique, messe tous les dimanches, les amies devaient montrer patte blanche avant toute rencontre, autant dire qu’un garçon n’avait aucune chance de s’approcher de la belle enfant.
    
    Sa jeunesse passée pendant l’occupation n’arrangeant pas non plus les affaires, elle se retrouva seule à gérer la mercerie familiale à vingt-cinq ans. Sans autres sorties que la messe, les courses et son travail.
    
    Yvette fit le ménage à fond, bien que son appartement soit bien tenu. Elle mit dans un panier son linge sale, rangea le propre qui pendait sur un étendoir et fit les poussières.
    
    ooOOoo
    
    Yvette s’apprêtait pour aller à l’église et participer à la messe dominicale. Après un bain relaxant, elle préparait ses vêtements : jupe noire qui s’arrêtait sous le genou, chemisier blanc, veste grise en tweed.
    
    Si Yvette possédait une silhouette plaisante, elle tentait de la cacher sous des vêtements passe-partout. Elle s’estimait ni belle ni laide, juste banale, banalité qu’elle accentuait par l’absence de maquillage.
    
    Les cheveux de jais encore libres de tout chignon tombaient sur ses épaules. Elle se rendit dans sa chambre où elle avait disposé seshabits de messe sur le lit. Tout d’abord une large culotte de coton blanc qui montait haut sur le ventre, puis le soutien-gorge sage et solide pour maintenir sa poitrine trop encombrante à son goût. Son buste lui causait quelques soucis, le regard de certaines personnes se posait souvent ...
    ... sur ces attributs dignes de ceux de la fameuse Ursula Andress, à la grande confusion de la pieuse jeune femme.
    
    Elle enfilait sa combinaison en nylon quand la sonnette retentit et la fit sursauter. Qui diable pouvait venir la déranger un dimanche matin, elle allait être en retard pour l’office dominical. Elle se couvrit de son peignoir et se dirigea vers l’entrée, bien décidée à se débarrasser au plus vite de l’importun.
    
    Elle ouvrit la porte et se retrouva face à un escabeau bringuebalant. À travers les barreaux de l’échelle, elle put entrevoir le visage échevelé et cramoisi de monsieur Carrière.
    
    — Mademoiselle Yvette, pardonnez-moi de vous déranger, mais je dois emmener ma 4 chevaux Renault en révision demain, aussi verriez-vous un inconvénient à ce que j’effectue vos travaux de suite ?
    — Euh…
    
    Prise de court, Yvette réfléchit à toute vitesse, elle allait rater la messe, mais pouvait-elle refouler ce brave monsieur Carrière qui sacrifiait lui aussi son dimanche et sa grasse matinée pour lui rendre service ? Non, bien sûr, elle pourrait toujours aller à l’office du lundi matin.
    
    — Bien volontiers, monsieur Carrière, vous ne me dérangez pas du tout, entrez, je vous indique le chemin.
    
    Un peu affolée, Yvette emmena son voisin dans sa chambre. Elle rangea vite fait ses vêtements étalés sur le lit, les fourrant à la va-vite dans l’armoire. Pendant ce temps, il installait son échelle face à la fenêtre, disposait autour de lui son matériel, la perceuse, la rallonge ...
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