1. Ma belle-mère (suite 1)


    Datte: 24/04/2023, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Janiko, Source: Hds

    ... plaquées, lui recouvrant presque entièrement sa face.
    
    La première giclée m'arracha un puissant cri de plaisir. Les suivantes ne semblait pas vouloir s'arrêter, chaque spasmes déversant toujours plus de foutre dans son œsophage. Je la gavai comme une oie, les contractions des muscles de sa gorge et son cou, me massant la bite à chaque jet de sperme.
    
    Mon orgasme fut un des plus puissant et a duré de longues secondes, si bien que j'en ai presque oublié de la laisser respirer.
    
    Quand je le réalisa, elle était en train de suffoquer et se mit à prendre des grandes bouffées d'air dès que j'ai dégagé ma bite de son orifice buccal.
    
    Je reprenai mes esprits quelques instants, les yeux clos, la laissant reprendre son souffle également quand je senti de nouveau sa langue s'activer sur mon gland. Elle suscotait et léchait ma bite qui commençai à débander, tendrement, pour ne pas perdre la moindre goutte de la précieuse liquideur dont je venais de lui remplir l'estomac.
    
    Ce n'est que lorsque que je me suis décidé à délaissé sa bouche pour remettre mon caleçon qu'elle se résignat à arrêter de me pomper. Tout en me rhabillant, je lui ai dit sans ménagement, d'un ton autoritaire, pendant qu'elle ...
    ... se relevait pour me faire face:
    
    "-Je vois que tu as bien compris quel était ta place désormais! A partir de maintenant ta bouche et ton cul sont à moi!
    
    C'est ainsi que ma belle-mère devint ma soumise, mon esclave sexuel.
    
    Il ne suffit que de quelques jours pour qu'elle se procura un plug de taille XXL, qu'elle porta pendant quelques semaines. Par la suite, mes sodomies quotidiennes, parfois même plusieurs fois par jour, lui laissa l'anus prêt à chaque instants. Et à dès que j'en avais envie, je l'enculai, parfois directement dans la cuisine pendant qu'elle préparait le repas, quand je rentrai de l'école, me contentant de lui baisser son pantalon ou de lui relever sa robe, cracher sur sa rosette pour lui prendre l'anus sans aucune pitié, sans même lui avoir dit bonjour. D'ailleurs, plus j'étais brutal et sans ménagement, plus elle prenait son pied, laissant parfois des flaques de mouille sur le sol. Elle étaient complètement soumise à ma queue, son petit trou était devenu mon vide couille, mieux que n'importe qu'elle coquine de mon bahut. Sa bouche et sa gorge n'était pas épargnées non plus.
    
    Il se passa encore pleins d'aventures avec elle. Mais je vous le raconterai une autre fois. 
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