Ma Justine (5) - Histoires de Sexe

Ma Justine (5)

... l’embrasser avec tendresse.

— Tu as été merveilleuse aujourd’hui, murmurais-je en lui souriant.

— C’est toi qui as été merveilleux, jamais je n’avais ressenti autant de plaisir, jamais je n’avais connu un orgasme aussi puissant, me répondit-elle.

— Ça c’est parce que tu as été une soumise exceptionnelle aujourd’hui, rien de plus.

Elle me fixa dans les yeux, l’air hésitant. Après un court silence, elle prit la parole :

— C’est décidé. Après ce que tu m’as fait et ce que tu m’as dit je n’ai plus aucun doute : je veux être ta soumise, je te serai dévouée corps et âme, pour mon plaisir, mais avant tout pour le tien mon très cher Maître adoré.

Avant que je n’aie pu répondre quoi que ce soit, Justine m’embrassa avec plus de passion qu’elle ne l’avait jamais fait. Et je lui rendis son baiser avec plaisir. Et encore une fois elle brisa le silence :

— Ah moins que tu ne veuilles que ma mère et ma sœur nous retrouvent ainsi on ferait peut-être mieux de se rhabiller non ?

— Oui, tu as raison, répondis-je avec un sourire, de toute façon il va falloir que je rentre. Et va te laver, tu es encore dégoulinante !

— Ça te dérange que je dégouline de ton propre sperme ? Moi, j’aime bien, ...

... rétorqua-t-elle.

— Ne t’inquiète pas tu auras de nouveau ta dose, fis-je en rigolant. Allez, à la douche petite coquine ! Moi je file.

Je me rhabillais pendant que Justine restait là, nue, à me regarder le sourire aux lèvres. Une fois fini, je me penchai vers elle et l’embrassai pour lui dire au revoir. Et je me dirigeais vers son sexe avec ma main droite. Je le caressai délicatement et constatai qu’il était toujours garni de ma semence. J’en avais un peu sur la main, main que je passai sur la joue de Justine, à la fois par pur plaisir, mais aussi pour retirer cette semence de ma main.

— Ça te fait rire ? fit-elle.

— Oui, beaucoup, rétorquais-je avec un sourire en coin. Bonne soirée petite salope, je te recontacte très vite.

— Bonne soirée mon Maître adoré ! A très très bientôt, je suis impatiente !

Je quittais la pièce et descendais au rez-de-chaussée. Sa sœur était là, dans le salon, elle me regarda avec un sourire à peine visible. A-t-elle réellement quitté la maison ou est-elle restée là tout ce temps pendant que je baisais sa sœur ? Quoi qu’il en soit je quittais la maison, sans dire un mot, toujours le précieux bout de papier dans ma poche. La suite s’annonçait prometteuse !