1. Oncle John (2)


    Datte: 22/04/2023, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: balista, Source: Xstory

    ... lèvres de ma minette sont doucement écartées avec fermeté, il promène son monstre de haut en bas, effleurant mon pistil avec tendresse puis, lentement comme promis, il s’enfonce dans ma grotte. Ouf ! C’est du gros, je suis pratiquement écartelée, cela fait un peu mal, car j’ai abondamment joui quand il m’a brouté mon bijou, la descente au paradis se poursuit lentement, je n’ai pas de douleurs, que du bonheur, enfin il est au fond, je sens que son bâton frappe à la porte de ma nursery. Je vois les étoiles dans le ciel à travers le plafond. C’est à ce moment-là que je vois mon chéri, se dirigeant vers la salle de bain d’une drôle de démarche et criant de ne pas nous déranger et qu’il va prendre une douche. John qui ne l’avait pas vu commence à paniquer et envisage même de ne plus niquer. Ce qui ne ferait pas mon affaire, je le calme en l’encourageant à continuer ce qu’il avait si bien commencé.
    
    Juste à ce moment, Jérémie arrive en annonçant qu’il a perdu son pari et qu’on peut poursuivre ; mais il bande comme un satyre et pendant que John continue à me faire du bien, je ne peux m’empêcher de lui prendre sa gaule, elle est quand même plus facile à mettre en bouche. On sent que le plaisir arrive presque en même temps pour les trois, Jérémie m’envoie une bonne rasade de jus de pruneau et comme j’arrive à jouissance après avoir crié comme une perdue, machinalement je ressers mes dents et là, j’ai failli lui couper le tuyau, il a eu juste le temps de le retirer.
    
    Et John, ...
    ... comment a-t-il vécu cela ?
    
    Depuis que je suis allé à Chicago, je n’arrête pas de me passer en boucle l’image de ma belle nièce. Je réalise que mon veuvage ne m’a pas coupé les idées et alors que je pensais être calmé de ce côté, cela revient en force.
    
    Hier, alors que j’avais dit que j’allais un moment dans mon bureau contrôler quelque chose, quand je suis revenu, elle dormait en plein soleil, complètement nue. Je sais en Europe, le nudisme dans certaines régions est passé dans les mœurs, mais pas ici, dans le biblebelt1. Avec toutes les grenouilles et crapauds de bénitier, cela ne passerait pas.
    
    Son cul, qui probablement n’avait pas trop l’habitude d’être au soleil, prend une couleur un peu trop vive. Je me place pour que Phébus ne lui grille pas trop le popotin, ce qui ne m’empêche pas d’admirer le reste, la descente de reins, sa peau satinée. D’un coup elle se réveille, peut-être dû au manque de soleil et sans s’en rendre compte, se tourne et me présente son intégrale beauté.
    
    Des jolis petits seins presque de jeune fille, bien en place, un ventre sans vergeture, un buisson pour faire semblant de cacher ses trésors, mais on voit clairement deux lèvres que je dirais gonflées.
    
    Du coup, c’est un coup de clairon, un réveil en fanfare, mon slip devient indigent et incapable de contenir ce qu’il devrait et cela guigne par en dessus. La coquine a le regard scotché sur mon appendice qui prend l’air quand mon neveu rentre de sa promenade.
    
    — Ouf ! Je crois que je l’ai ...
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