1. Les soeurs Ukazovà, complices sexuelles (4)


    Datte: 22/04/2023, Catégories: Hétéro Auteur: megalosex, Source: Xstory

    ... ta bite dans mes trous.
    
    — Petite cochonne ! J’ai baisé ta bouche et maintenant ton cul !
    
    Elle gémit tandis que je lui ramone l’anus … jusqu’à ce que parvienne à gicler de nouveau dans ses entrailles. Elle crie son plaisir. Toujours en elle, je lui murmure à l’oreille :
    
    — J’adore baiser avec toi. Je suis fou de ton corps !
    
    Mes propos l’amusent :
    
    — Tu me veux juste pour le sexe, alors ?
    
    Me souvenant de ses paroles concernant un avenir commun, je lâche, prudemment :
    
    — On peut dire ça comme ça …
    
    Elle se tourne vers moi, me sourit :
    
    — C’est mieux ainsi, n’est-ce-pas ?
    
    Puis, sans transition :
    
    — Cela m’a donné soif. Pas toi ? Allons au séjour, boire un peu.
    
    Nous descendons tous les deux, nus. Puis Éva prend la bouteille de limonade dans le frigo. Assis autour de la table du salon, nous buvons à grandes gorgées.
    
    — Ouf ! Cela fait du bien après ce genre d’exercice
    
    Elle l’a dit avec un petit air coquin, en prime. Et comme je la regarde :
    
    — Tu as encore envie de moi, on dirait. Envie de mes seins ? De ma chatte ?
    
    Et moi, tout en lui rendant son sourire :
    
    — Puisque tu parles de ta chatte … j’aimerais bien que tu te la fasses lécher par … Rex. Comme ça, pour t’entendre gémir de plaisir sous sa langue.
    
    — Au moins c’est direct. Et je dois dire « oui », n’est-ce-pas ? Tu crois que Rex en aura envie ?
    
    Elle se lève et se dirige vers la porte donnant sur la cour arrière de la maison.
    
    — Je pense qu’il doit être par là.
    
    Une fois ...
    ... dans la cour, elle se dirige vers la balançoire sur laquelle elle s’assied. Rex est en face d’elle, allongé dans l’herbe. Éva commente pour elle-même, en jetant un coup d’œil vers la voie ferrée toute proche :
    
    — Les voyageurs verront une fille nue sur une balançoire, en train de se faire lécher le sexe par un chien, tandis qu’un voyeur se branle en les regardant.
    
    Elle me tire gentiment la langue, avant d’appeler le chien. Celui-ci se lève, paresseusement, et s’approche. Alors, elle ouvre largement ses cuisses et lui désigne son abricot. Le chien lui lèche un peu les genoux avant de glisser sa tête entre ses cuisses.
    
    — Viens, Rex, viens. Tu vois mon petit minou ? Alors lèche-le. Vas- y !
    
    Avec son doigt elle écarte les lèvres de la vulve. Le chien approche son museau, renifle, puis passe sa langue dessus.
    
    — Oui … Oui … comme ça, Rex ! Lèche bien … ne t’arrête pas. Tu l’as déjà fait, hein ? Et Bob veut que tu me lèches, il veut que tu me fasses jouir avec ta langue.
    
    Elle se triture l’abricot, à le faire mouiller. Et le chien se met à laper, à laper. Elle tend son ventre.
    
    — Oh ! Comme c’est bon … comme c’est bon !
    
    Je la regarde, fasciné par le spectacle qu’elle m’offre. Je me remets à bander. C’est qu’Éva est en train de prendre un monstrueux plaisir à se faire lécher la moule par son chien. Elle a les cuisses écartées au maximum. Rex semble habitué à laper le sexe de sa maîtresse. Depuis l’été dernier, elle a dû refaire ça pour son propre plaisir.
    
    Elle ...
«1...345...9»