Je suis bloqué (7) - Histoires de Sexe

Je suis bloqué (7)

Malgré son activité nocturne, Matthieu se réveilla tôt, 8h00 tapante comme tous les jours. Il regarda avec un sourire polisson sa tante toute nue en dehors des draps. Il se leva et sortit de la chambre à pas de loup. Il s’habilla et descendit vérifier à la lumière du jour qu’il n’avait laissé aucune trace des événements de la nuit.

Plutôt content de moi... je vais faire la petite vaisselle et ce sera parfait.

Il s’attendit à ce que sa mère, une petite dormeuse, se lève le temps qu’il nettoie et range les verres et le reste, mais rien. Il déjeuna et un coup de fatigue le prit. Il se recoucha dans sa chambre. Il tomba comme une masse et se réveilla à 11h00 dans une forme olympique. En sortant de sa chambre, il vit que sa tante était levée.

Il arriva dans la cuisine, tout guilleret.

— Alors les filles... on a décidé de vider toutes les bouteilles de la maison.

Sa mère, assise sur un tabouret, la tête baissée et les coudes sur le comptoir, lui fit un geste bien grossier et lui répondit :

— Ne parle pas trop fort, s’il te plaît.

Sylvie, rouge comme une pivoine, n’osa pas relever la tête pour regarder son neveu.

— Et toi Sylvie, bien dormi ?

Matthieu sentit le trouble chez sa tante, de plus, celle-ci était debout et semblait voir le tabouret à côté d’elle comme un ennemi.

On dirait que tantine va avoir du mal à s’asseoir pendant quelques jours.

Envahi d’un sentiment de force, il embrassa sa mère sur la joue et vu que sa tante n’avait pas l’air de ...

... vouloir le regarder. Il en profita pour lui masser les seins. Elle le repoussa gentiment avec un sourire fatigué puis elle plongea de nouveau dans son café. Il s’approcha de Sylvie qui releva la tête puis la baissa plusieurs fois d’affilées.

Dos à sa mère, Matthieu en profita pour passer la main sous le débardeur de sa tante et lui palper la poitrine sans vergogne. Sylvie sursauta et leva la tête en faisant signe que non et en fut pour un baiser langoureux avec la langue. Il la sentit se débattre deux secondes puis elle devint liquide entre ses mains. Il descendit sa main et la passa sous le short et tapota le clitoris du bout de l’index. Sylvie couina.

— Syl, tu vas bien ? demanda son aînée en levant difficilement la tête.

— Il m’a... chatouillée.

— Oh non Matt ! Laisse-nous récupérer d’abord, tu joueras après avec ta tante.

J’y compte bien.

— Je vous laisse vous remettre.

Il monta l’escalier et entendit.

— Dis donc, t’as les tétons qui pointent, on dirait des fusées ! s’exclama Karine.

Sylvie ne sut plus où se mettre, regarda sa sœur en évitant son regard, puis s’aperçut de quelque chose.

— Tu peux parler ! T’as vu les tiens.

Elles entendirent la porte de la chambre se fermer.

— Je sens que ça va être une longue journée, énonça Karine comme évidence.

Elle prit une douche salvatrice. Longue et chaude, celle-ci lui permit de lui remettre les idées en place.

Je n’ai pas été sympa avec mon Matt, il a dû rester à attendre avec sa grosse ...