1. Eveil de l'aurore (3)


    Datte: 22/04/2023, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Ancalagon, Source: Xstory

    ... Dalida comptait ses nuits d’automne. Moi, je me sentais fort comme un homme.
    
    Les boucles de ses cheveux caressaient doucement mes oreilles et pendant que je promenais l’extrémité de mes doigts sur ses lombaires, elle laissait traîner la pulpe de ses doigts sur mes cervicales, agaçant de temps à autre la partie supérieure de mes trapèzes. Ma respiration devenait de plus en plus profonde sous l’effet de ces attouchements aux effets hypnotiques. J’étais bien, même pas excité du tout. Non, j’étais bien, très bien même.
    
    Au bout d’une dizaine de minutes, notre désir réciproque prit quand même forme, surtout le mien.
    
    Ma jeune virilité s’exprimait triomphalement dans mon slip alors qu’elle accentuait la pression de son pubis sur le mien.
    
    — hummm. Intéressante la brindille que je crois sentir. Tu es devenu un beau petit homme, tu sais.
    
    Les mains de Csillag initialement accrochées à mon cou descendirent doucement, me caressant lentement le dos, puis les reins pour finir sur mes fesses qu’elle picora de ses doigts. L’électricité fusait dans ma moelle épinière. Mes mains imitèrent le même trajet et quand j’accrochais le bas de son dos, nos lèvres se soudèrent. Sa langue prit furieusement possession de ma bouche. Elle me dévorait.
    
    — Ça me fait tellement bizarre, lui dis-je après quelques minutes en interrompant notre ballet lingual. Tu es comme une grande sœur pour moi, presque une seconde maman, lui avouais-je dans la foulée.
    
    — Alors comme ça, je suis ta ...
    ... seconde maman. Mon petit garçon, mon tout petit garçon, Maman a très envie de te cajoler tout doucement, toi et ta très jolie petite asperge.
    
    A l’époque je faisais encore une sorte de rejet de ma puberté et je m’étais complètement épilé le corps, voulant retrouver l’illusion de l’enfance que j’avais tant détesté quitter. Lorsque qu’elle sortit mon sexe de sa prison, elle ne retint pas sa surprise.
    
    — Oh mais tu n’as aucun poil, mon bébé, dit-elle faisant coulisser sa main autour de mon membre. Tu n’es donc pas encore un vrai coq, un coquelet peut-être...Non, un petit poulet, un tout jeune petit poulet tout déplumé, mais avec déjà un joli bâton...
    
    — Tu as un ravissant zigouigoui, très doux en plus, très très doux, mon enfant murmura-t-elle en me fixant d’un œil cajoleur. Laisse ta maman prendre ton kiki.
    
    J’étais totalement infantilisé par ses paroles qui me faisaient perdre au moins six ou sept ans d’âge mental, et je fus à partir de là incapable de faire la part des choses entre réalité ou désirs refoulés. Tous ses murmures me renvoyaient à l’état de préadolescent et mon esprit partit dans les limbes de l’espace-temps, à peine rattaché au réel par les mots de ma mère de substitution et les sensations qu’elle me procurait. Je m’imaginais avoir douze ans et m’abandonnais au bonheur coupable de mon fantasme.
    
    — Tu es déjà bien dur pour ton âge, mon petit enfant, susurra-t-elle. Maman va te faire du bien. Laisse-toi te faire tripoter ta petite tige toute lisse par ta ...