Hana
Datte: 22/04/2023,
Catégories:
Oral
lesbos,
Femme,
discrète,
découvertes,
soirée,
hors,
commune,
Auteur: lexdepenny, Source: Revebebe
... ne veuille se dévouer ?
Qui ça ? Moi ? Me laisser tripoter par des inconnus ? Je veux bien faire ma contribution aux bonnes œuvres, mais… J’ouvre la bouche pour donner mon refus sans équivoque… et je la referme si vite que j’en ai les dents qui claquent. Pauvre Ewa, qui aura fait tout ça pour n’être payée qu’à moitié ? Alors que moi, qu’est-ce que ça me coûte, si je le fais pour elle ? Un peu d’inconfort, c’est tout. Pas de raison de me sentir humiliée si je le fais volontairement. Bon. Je les emmerde. Et moi, je sais m’empêcher de jouir, c’est un jeu que je m’offre assez souvent, toute seule chez moi. Je prends charge du seau et avance vers la troisième table.
— Merci. Oh, mille fois merci, me souffle Ewa. Tu es sûre ?
— Oui. Plus que sûre.
Je ressens un plaisir pervers à tendre ma vulve dénudée et lisse vers des gens qui me caressent, tantôt avec expertise, tantôt pas, tantôt dans le but de me faire plaisir, ceux-là et celles-là, je les remercie d’un sourire. D’autres essaient de me faire mal, mais jamais autant que quand je me brutalise chez moi, les jours où je ne m’aime pas. Je termine les tables sans jouir et une idée me vient en tête.
— Encore un don, et je me fais jouir pour vous.
Pas de problème. Si ces patrons sont un peu tordus, leur générosité ne fait pas défaut. Je m’installe sur une table et je commence. Nouvelle découverte : ça me plaît de m’exhiber pendant que je me masturbe. Tant de choses auxquelles penser plus tard. Mon clitoris a durci et ...
... je joue de la guitare dessus. Il y a un orgasme qui se construit dans mes tripes, mais je peux tenir encore un bout de temps, sauf que….
J’ai les yeux fermés depuis un moment et quand je ressens des lèvres douces qui embrassent ma vulve, ça me fait comme un choc électrique. Je regarde et c’est Ewa qui prodigue des baisers sur les lèvres enflammées de mon sexe. Elle voit que je la regarde et arrête, le temps de m’offrir un sourire où se mélangent désir, gratitude et tendresse. Quand elle se remet à m’embrasser, je jouis sur le coup, de tout mon corps, qui subit des contractions répétées et tsunamiques. À travers la vague d’extase, j’entends des applaudissements. Ils sont fous, ces Anglais.
Le reste de la soirée passe en flèche. Ewa et moi nous rhabillons, le taxi nous ramène… mais à mon hôtel. Un billet de dix livres rend le jeune homme à la réception momentanément aveugle. On monte et l’on se tombe dessus. Je découvre les délices d’avoir sous ma langue un minou non seulement enflé par le désir, mais comme cerise sur le gâteau, il est lisse, glabre, et d’une douceur indicible. Moi, j’ai l’habitude d’un seul orgasme qui me détruit. Ewa, c’est toute une série de secousses. Aussi ridicule que cela puisse paraître, j’ai l’image des pavés de Paris-Roubaix qui me saute à l’esprit. Le fou rire que cela provoque et l’interlude pendant que j’essaie de l’expliquer en anglais, fait que quand je reprends mes caresses, elle est prête à recommencer à zéro. Moi je suis partante et l’on ...