Le Propriétaire Pervers 02
Datte: 06/09/2018,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: byjdrd, Source: Literotica
Pendant une semaine, nous nous sommes intensément mis à la recherche d'argent. Nous avons contacté notre famille, nos amis, nos connaissances. Rares étaient ceux qui acceptaient de nous prêter, mais aucun ne pouvait le faire en une semaine. Ceux qui avaient suffisamment d'argent pour nous prêter quelques centaines d'euros (nous ne voulions pas emprunter la totalité à la même personne), avaient l'argent placé et cela demandait du temps pour le sortir.
C'est donc avec beaucoup d'appréhension que nous attentions le propriétaire. Nous nous doutions que Verena allait de nouveau devoir à nouveau subir ses assauts. Pour nous donner du courage, nous avons bu plusieurs verres, nous réchauffant le corps et l'esprit.
Le bruit caractéristique de la 4L se garant nous sorti de l'apathie dans laquelle l'appréhension et l'alcool nous avaient plongés. Notre propriétaire entra dans la maison, mais il n'était pas seul. Son contremaître Serge, un géant de plus d'un mètre quatre-vingt-dix et pesant au moins 120kg l'accompagnait.
- Alors vous avez le pognon, demanda-t-il sans préambule. Je l'espère pour vous, ma patience à des limites!
- Nous allons l'avoir dans quelques jours, une telle somme ne se trouve pas aussi facilement...
- C'est pas mon problème, je vous avais donné une semaine, celle-ci est écoulée, vous allez me faire le coup à chaque fois!
- Mais on vous garantit que l'argent sera bientôt là.
- Sais pas pourquoi, mais j'ai envie de vous faire confiance, ...
... décréta-t-il avec un regard à son contremaître qui semblait allait à l'opposé de ses paroles apparemment bienveillantes.
- Mais bon, va falloir encore payer des intérêts qui ont sacrément augmentés depuis la semaine dernière...Pour commencer, ma petite poulette, tu vas aller chercher tes escarpins les plus hauts, les mettre et poser tous tes autres vêtements...J'aime bien voir une pute à poil sur des escarpins...
On y était, comme on l'avait prévu, Verena allait devoir de nouveau subir les envies lubriques de ce gros porc. Mais cette fois, il n'était pas seul. Le contremaître arborait un grand sourire pervers, louchant de manière ostentatoire sur les attributs de mon épouse. Je savais qu'il était vain de protester...Verena aussi d'ailleurs. En baissant la tête elle disparut dans notre chambre pour aller chercher les chaussures demandées. Pendant ce temps le paysan et son acolyte s'étaient assis et servis d'un verre, comme si ils étaient chez eux. Dans un sens, c'était un peu le cas...
A peine quelques minutes après, ma douce femme fit son apparition dans la pièce. Elle avait mis des escarpins rouges qu'elle n'utilisait que pour les mariages, avec des talons de plus de 10 cm. Mais surtout, obéissant à la demande, elle s'était totalement dévêtue, offrant à l'assemblée une vision extraordinaire, ses gros seins dardant agressivement leur téton et son sexe rasé impudique dévoilant ses grosses lèvres. La hauteur des escarpins bombait ses fesses de manière obscène. La scène était ...