1. "Il venait d'avoir Dix-huit ans..." (15)


    Datte: 22/04/2023, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: antonin mordore, Source: Xstory

    Tout était parfait !
    
    Anne regardait avec beaucoup de fierté le grand salon, entièrement redécoré, avec des photos de nus très esthétiques, des statuettes de nymphes, des rideaux rouges disposés sur les murs, des éclairages tamisés un peu partout, qui laissaient des zones d’ombre sur les différents canapés et fauteuils, disposés un peu partout.
    
    La caméra avait été placée en retrait, et le poste de télévision mis sur une commode en hauteur. Anne appuya sur les commutateurs de la télé et du magnétoscope, et alors elle se vit en train de faire l’amour avec les trois Maghrébins... Au moins, chacun saurait ainsi à quoi s’en tenir !
    
    Maurice était venu faire un petit tour, avait cligné des yeux de stupéfaction, et avait éructé tout bas une phrase du style :
    
    — Le boudoir d’une putain ! On se croirait chez Madame Claude ! “
    
    Anne en avait ri de bon cœur ! La soirée allait être chaude ! Il y avait de l’alcool, un cocktail à base d’aphrodisiaques, tels que du bois bandé et du gingembre dans une grande soupière, et même une petite table avec des poppers ; elle avait bien eu du mal à se les procurer dans un sex-shop, mais au moins, chacun pourrait prendre le stimulant qui lui convenait le mieux, en toute connaissance de cause !
    
    La prof de latin, Corinne Boulard, arriva la première, avec son amie du moment, une jolie petite brune coupée court, à peine sortie du bac, enfin avec trois ans de retard quand même ! La cancre avait quand même 21 ans... mais ce n’était pas pour ...
    ... ses performances intellectuelles que Corinne l’avait choisie. Anne reconnut Judith, une de ses anciennes élèves, pas la meilleure du lot, mais elle se dit en voyant son regard intense, qu’elle lui donnerait bien des leçons dans un tout autre domaine. Elle portait un jean tout simple et un t-shirt sans soutif, comme en témoignaient les pointes de ses seins tendus sous le tissu. Corinne, elle, portait un pantalon de tailleur noir, un chemisier crème et la veste attenante. Elle non plus ne semblait pas avoir de soutien-gorge...
    
    Elles se firent la bise et Corinne détailla la femme de son proviseur : minijupe blanche, sur des bas de la même couleur, chemiser noir assez décolleté ; une chaîne de cheville en or sur la jambe droite... le ton était donné. La femme du proviseur était là pour aguicher ses invités !
    
    Puis arrivèrent les voisins du dessous ; Fabrice avec son père et sa mère, qui portait la même tenue en cuir que lors de leur dernière soirée torride. Le père de Fabrice semblait débarquer d’une autre planète. Il ne comprenait pas l’atmosphère érotique de l’endroit ni la tenue assez provocante de la femme de son collègue. Lui, qui s’était attendu à visiter l’antichambre d’un collège de jésuites durant l’Inquisition !
    
    Et quand Anne roula un palot sensuel à sa propre femme, il perdit les pédales et s’écroula dans le divan près de lui. Il regardait sans y croire les deux femmes en train de s’embrasser goulûment ! Il allait se redresser, et certainement faire un esclandre, ...
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