1. 6 queues pour Bianca (4)


    Datte: 21/04/2023, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Ellalapeche, Source: Xstory

    La petite troupe emmenée par Lise et Bianca quitte le bar pour se diriger vers une salle située au sous-sol de l’établissement. Les escaliers sont pentus, les talons, vertigineux et Bianca n’y voit rien sous son bandeau. L’obscurité est profonde. La musique toujours festive. Elle suit sa compagne qui la tient par la main, tâtonne et soudain se sent soulevée par des bras puissants qui passent l’un sous ses genoux, l’autre derrière ses épaules. Lise a lâché sa main. Portée et sécurisée, elle descend les escaliers en mode VIP contre un torse dont elle perçoit la forte tension musculaire. Ses fesses sont nues, un courant d’air frais vivifie son sillon. Ses seins s’offrent malgré elle au souffle et à la vue de cet homme au parfum boisé qui en profite pour lui glisser quelques mots :
    
    — Tu sais ce qui t’attend, ma belle ?
    
    Le timbre de sa voix est grave, agréable, une certaine maturité est perceptible. Un beau quinqua, peut-être. C’est en tout cas comme ça qu’elle a envie de l’imaginer.
    
    — J’ai une petite idée, répond Bianca d’un ton volontairement désinvolte. Disons qu’il y a une légère probabilité pour que vous me baisiez, non ?
    
    — On ne va pas seulement te baiser ma chère, on va te prendre et te défoncer jusqu’à épuisement.
    
    Tu crieras pitié même, surenchérit-il dans un chuchotement à peine audible.
    
    Ces mots sonnent comme une décharge électrique qui la secoue dans un spasme ardent. Elle sent aussitôt sa chatte s’ouvrir un peu plus.
    
    — Pour ma part, je commencerai ...
    ... d’abord par torturer tes beaux seins, dit-il en la soulevant plus haut encore et la faisant basculer jusqu’à sa bouche pour mordiller son téton droit... lui arrachant un gémissement surpris. Et je ne m’arrêterai pas là, mon p’tit sucre... Parce que vois-tu, tu es une invitation à la lubricité. Tout en toi sent prodigieusement le cul.
    
    Pas vrai les gars ?
    
    Ces paroles prononcées, des mains commencent à emmêler ses cheveux, enrober ses seins, se poser sur son ventre, malaxer ses cuisses... Son corps déjà ne lui appartient plus.
    
    Ils sont arrivés dans la salle de jeu. L’homme dépose Bianca sur ce qu’elle devine être une sorte de lit. Elle se sent cernée, entourée. L’excitation masculine est très palpable. Ils sont autour d’elle, elle devine leur présence. Ils l’accueillent comme un cadeau dont ils vont tirer tous les plaisirs.
    
    Les effluves d’un parfum familier ambré, Mitsouko se rapproche tout à coup plus distinctement d’elle, elle reconnaît, bien sûr, ces mains fines et délicates qui viennent enserrer son visage.
    
    — Mon pt’it chat... je suis là, je t’observe, je te regarde, tu es magnifique. Fais les bander, fais-les jouir et surtout laisse-toi aller. Lise prononce ces mots avec beaucoup de douceur tout en baisant sa bouche, ses joues, son front dans une tendresse infinie, tandis que sa main descend négligemment sur ses seins... Sombre, abandonne-toi, profite. Ils sont là pour toi, chérie... David, Hugo, Jérôme, Lorenzo, Stéphane, Teddy et Fabrice. J’ai choisi chacun ...
«123»