Lettre ouverte aux travestis
Datte: 20/04/2023,
Catégories:
hh,
fbi,
hépilé,
revede,
odeurs,
hféminisé,
Transexuels
hdanus,
hfisté,
hsodo,
Auteur: sandra62, Source: Revebebe
... reins.
Lorsque je sens ton sexe se raidir et tressauter en moi, je ne résiste pas à l’envie de t’achever.
J’écarte largement les cuisses pour que tu puisses m’empaler jusqu’à la racine de ton sexe.
Dans le même temps, je malaxe doucement tes bourses en sentant tes puissants jets de sève fuser contre ma paroi anale.
Puis, je t’abandonne un instant pour aller faire un brin de toilette dans la salle de bains et retirer ma cage de chasteté.
Lorsque je reviens en ajustant mes dessous, je ne peux empêcher ma queue de jaillir de ma culotte fendue.
Elle se dresse devant tes yeux en battant la mesure comme un métronome.
Profitant de ton instant de faiblesse, je te colle dos au mur en plaquant mes mains sur tes hanches.
Ayant envie de décharger en toi, je remonte lentement mon genou gaîné de nylon entre tes cuisses pour te forcer à écarter les jambes.
Puis, sans te quitter des yeux, je relève ta jambe contre ma taille pour t’ouvrir plus largement l’anus et mieux te baiser.
Perchée sur mes talons aiguilles, je pilonne tes reins sans relâche.
Accompagnant mes coups de boutoir, tu gémis doucement en me pressant les seins.
Très vite, une vague déferlante de plaisir m’emporte en me faisant jouir longuement en toi.
Une demi heure plus tard, en voyant ta queue à nouveau pleine de désir, je t’entraîne dans mon lit en te décochant un regard plein de promesses.
Je t’allonge sur le dos bien décidée à t’achever rapidement.
Tout en te masturbant, je ...
... glisse un, deux, puis trois doigts dans ta rosette en refermant mes lèvres gourmandes sur ta colonne de chair.
Puis, je titille ton gland avec ma langue avant d’aspirer tes bourses.
Je poursuis mon travail de sape en posant mon vibro sur ton frein tout en massant ta prostate avec la pulpe de mes doigts.
Pour te finir, je tourne lentement mon poignet en faisant rentrer lentement ma main dans tes fesses.
Ayant passé sans difficulté la courbure de ton intestin, j’enfonce lentement mon bras jusqu’au coude en entendant tes gémissements de plaisir.
Tu regardes stupéfait mes doigts soulever la peau de ton ventre à la hauteur de ton nombril.
Dans le même temps, je sens ton anus se contracter et le pouls de ton aorte battre contre mon bras pendant que ta sève se met à couler lentement et en continu dans ma bouche.
Un moment plus tard, t’ayant laissé du temps pour récupérer, je m’allonge sur mon lit en écartant les fesses à deux mains :
— Viens, j’ai envie de toi.
— Ma salle de jeux est toujours ouverte.
Excité par mes paroles, tu te glisses entre mes cuisses.
En voyant ton sexe dressé, prêt à m’enfiler, ma respiration s’accélère et mes seins volumineux et lourds se soulèvent en cadence.
Allongée sur le dos, je lève les jambes en les gardant écartées tout en t’implorant du regard pour être prise.
Mon excitation est à son comble lorsque je vois au-dessus de ma tête mes talons aiguilles tressauter sous tes coups de boutoirs.
Il n’y a rien de plus sexy ...