Charlotte et... - Histoires de Sexe

Charlotte et...

... j’en ai pris dans la figure… sur les seins… dans la chatte.
— Tu aimerais te faire enculer ? dit-il pour enfoncer le clou et en accélérant le rythme de son doigt.
— Ouiiii… être enculée, avec plein de sperme… Ohhhh !… je jouiiis, dit-elle en écrasant la main de son tortionnaire entre ses cuisses. Ohhh… c’est trop bon…

Pour lui-même, il pensa« Mon ami Louvi serait surpris comme moi de la rapidité avec laquelle elle a passé d’un langage d’honorable jeune fille aux mots obscènes en tout genre ». Mais il devinait pourquoi Madeleine s’était gargarisée si rapidement de ces mots crus : ce vocabulaire brutal la plongeait dans le stupre pour son plus grand délice.

Un coup d’œil au rétro lui permit de surprendre Charlotte rejetée contre le dossier de la banquette arrière, les yeux fermés, bouche ouverte, haletante, le bras droit agité de mouvements répétés. Elle explosa avec un cri étouffé.

Son plan était payant : il voulait que Charlotte soit excitée au possible par ce prélude. Elle réagissait comme il l’avait souhaité. Elle était mûre pour la suite du film…

Dans le garage, lorsqu’elles sortirent de la voiture, il céda à une impulsion brusque : il plaqua Charlotte contre la voiture, passa sa main sous sa jupe et lui agrippa fermement le sexe. Elle se lova contre lui et l’embrassa sur la bouche. Il l’écarta et les dirigea vers l’escalier.

— Madeleine, tu connais le chemin, tu passes devant, Charlotte me suit.

Madeleine fut cueillie en pleine montée. Louis passa sa ...

... main sous la jupe et passa son doigt entre ses fesses puis sur son œillet. Elle faillit trébucher, puis continua son ascension. L'appartement, puis illico la chambre à coucher.

Elles se tinrent debout, côte à côte, attendant le bon vouloir du maître des lieux qui les observa quelques secondes en silence. Puis :

— Vous vous êtes déjà vues nues ?
— Jamais, répondirent-elles de concert.
— Y aviez-vous déjà songé ?
— …
— …
— Oh, les hypocrites ! J’entends comme un grand oui. Ça vous dirait ?
— Oh oui…
— Eh bien, c’est le moment. Charlotte, tu ne bouges pas, tu regardes, je m’occupe de toi ensuite.

Louis demanda à Madeleine de lever les bras. Il lui enleva son tee-shirt, ensuite il passa derrière elle pour défaire le soutien-gorge et la jupe qui tombèrent au sol. Elle avait enlevé sa culotte dans l’auto. Toujours dans son dos, il lui empoigna les seins et la fit se tourner vers Charlotte.

— Regarde, tu as vu comme elle a une belle chatte ?
— Oh oui… c’est beau… Depuis mon adolescence, j’ai toujours rêvé d’en voir une.
— Et la toucher ?
— …
— Tu ne dis pas non. Ne sois pas ta prude… approche.
— Je n’oserais pas…
— Mais si, mais si ! En plus, tu en as envie, je le sens. Tu as promis d’obéir, tu t’en souviens ? Tourne ta main, la paume vers le haut et pose-la. Oui, voilà, comme ça.

Madeleine tressaillit, plia légèrement les genoux, mais ne marqua pas de recul. Elle avait fermé les yeux semblant savourer l’attouchement. Les yeux brillants, Charlotte laissa ...