Mon meilleur ami me force à accepter ma vraie nature... (3)
Datte: 19/04/2023,
Catégories:
Transexuels
Auteur: peaceme91, Source: Xstory
... caféiné n’avait qu’une destination possible : mon visage. En moins de temps qu’il n’en fallait, mes yeux, mes joues, mon front, mes cheveux étaient souillés de biles, de cafés et de baves, le tout puant ou sentent divinement bon le sexe d’homme.
Mon bourreau buccal eut un petit rire en voyant mes malheurs.
— Haha ma petite chérie, vous êtes bien toutes les mêmes quand vous avez une bite dans la bouche, vous avez toujours la même expression ainsi recouverte de baves.
Aussi dégradant que cela puisse paraître pour moi, pendant les minutes où il me pilonnait la bouche, je crois que mon meilleur ami ne me considérait plus comme une femme, mais comme un objet, un simple trou, un réceptacle à zob, et aussi étonnant que cela puisse paraître, l’idée ne m’était pas désagréable, je me suis donc abandonnée et laissée aller.
Mon supplice buccal durait. Mon mascara était en ruine, mon corps me faisait souffrir le martyr, ma bouche n’était plus que capable de déglutir indignement, chaque bouffée d’air, était-elle une bénédiction. Un rituel s’était mis en place : premièrement, un assaut du dard jusqu’à ce que les couilles arrivent jusqu’à ma bouche et mon visage, deuxième étape quelques secondes d’attentes au plus profond de mon intimité buccale, les ...
... attributs seulement à quelques millimètres de mes yeux. Tellement prêt que je pouvais dire le nombre de poils et de grains de beauté parsemant l’endroit… Dernière étape, un retrait pour me laisser un peu respirer. Ce rituel était parfois lent, parfois très rapide, je ne sus combien de temps il dura, tant mon meilleur ami semblait prendre son pied.
Puis enfin, mon mâle alpha m’attrapa le cou avec force, sa main me poussa vers son sexe, tandis que le sexe lui me repoussait… ce supplice ne dura que quelques secondes, heureusement pour moi. Une fraction de seconde plus tard, du sperme chaud, pâteux et gluant, sortait de ma bouche et de mon nez, mon pote venait de me mettre le paquet. Une fois ma gorge libérée de sa tortionnaire, je me suis effondrée sous l’effort intense que je venais de subir.
À quatre pattes en petite tenue sur le tapis, j’ai toussé quelques minutes, vomissant de nouveau un mélange de sperme, de biles et de cafés, la gorge rouge. Je devais faire une bien piètre image de la gent féminine dans ma position. Mais mon ami semblait fier de moi et de mon travail, tant il me caressait la tête avec affection.
— Lève-toi mon cœur, ce n’est pas le moment de dormir… tu oublies ton rôle de petite femelle, tu dois préparer mon petit-déjeuner !