Comment j'ai soulevé la copine de mon ami d'enfance… (3) - Histoires de Sexe

Comment j'ai soulevé la copine de mon ami d'enfance… (3)

Comment j’ai soulevé la copine de mon ami d’enfance... (2)

Dix-neuf ans plus tard...

Debout près du barbecue, je tournais tranquillement les saucisses sur la grille en sirotant ma bière aux agrumes. La soirée avait tout d’une soirée d’été ordinaire, qui pouvait alors se douter au milieu des rires et des blagues, du nouveau tournant inattendu qu’elle allait prendre. Comme dirait Carl Johnson : « Ah shit here we go again ».

Comme chaque été depuis maintenant plus de vingt-ans, nous avions l’habitude de faire de la maison de Brandon d’Adeline et d’Aline notre repère : un barbecue, un jardin, toujours de la bière au frigidaire, si on voulait chipoter, il ne manquait toujours que la piscine. Je ne vais pas vous présenter les personnages de nouveau, surtout qu’Adeline vous a déjà été présentée sous toutes les positions... heu, coutures. Et pour Aline ? Voyons, utilisez votre mémoire, vous étiez-là le soir de sa conception !

La soirée battait son plein, les saucisses étaient maintenant avalées et les bières et les mojitos avaient pris le relais et coulaient à flots, rendant tout le monde un peu rouge et de bonne humeur. Ce fut le moment que choisit l’héroïne de notre histoire pour faire son apparition.

— Enfin, la voilà, s’exclama Adeline avec exaspération. Elle progresse, elle est presque à l’heure pour le repas !

Tous les regards se tournèrent vers la nouvelle venue, nullement gênée d’avoir mis ses parents en colère, bien au contraire, elle rayonnait. Et pour ...

... rayonner, Aline rayonnait, de sa mère elle avait gardé une belle crinière brune, pour le reste, elle était son opposé, fine, grande, les jambes fuselées, de magnifiques yeux verts de biche. Bref, elle ressemblait peu à sa mère et nullement à Brandon...

Consciente d’avoir tous les regards sur elle, Aline esquiva sciemment ses parents pour venir voir son « parrain préféré ». Mon cœur manqua un battement, elle portait une robe blanche courte qui laissait voir tout son corps et surtout sa lingerie fine, dont un magnifique et minuscule string noir qui offrait à la vue de tous les convives ses petites fesses saillantes. Clope à la main, tenue provocante, langage châtié, presque de bonhomme, elle avait tout de l’adolescente détestable ou de la petite pouffiasse si en vertu de son âge, on la considérait dorénavant comme une femme et non plus comme l’enfant de la maison.

En me faisant la bise, elle s’attarda plus que de raison contre moi, minauda et se frotta contre moi, telle une chatte en chaleur. Heureusement, ce petit jeu ne dura que quelques secondes, la petite avait presque réussi à me faire perdre mon calme, et faire monter en moi des pensées indécentes pour la fille de mes amis. Par chance, les autres ne firent pas attention au manège de la jeunette, toutefois, le sourire et le petit clin d’œil qu’elle m’adressa par-dessus son épaule m’apprirent que ses gestes n’avaient rien d’innocent et étaient prémédités.

Après une telle arrivée, l’orage qui grondait finit rapidement ...