-
Déchéance et rédemption (24)
Datte: 16/04/2023, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: simson3, Source: Xstory
... similaire, fut également fixé sur la poitrine de la fille. On lui banda par la suite les yeux. Sophie était consciente que ce qu’elle portait sur elle ne cachait aucun des détails de son anatomie et qu’au contraire sa présentation était plus aguichante que jamais. Privée de sa vue et plongée dans un silence presque mystique, elle sentit les participants s’approcher tout près d’elle. Un léger tiraillement lui signifia qu’une des bandelettes élastiques de son slip se faisait à présent étirer. Elle en eut la douloureuse confirmation comme elle sentait, presque immédiatement après, le cinglant pincement provoqué par son retour contre l’épiderme sensible de sa fesse. Une seconde bandelette se fit à son tour étirer, claquant cette fois-ci sur le bout d’un mamelon qui se mit à pointer autant de douleur que d’excitation. Une à une, les bandelettes se firent toutes saisir puis étirer, certaines presque jusqu’au point de rupture, avant de reprendre violemment contact avec une peau de plus en plus rougie par les micro-flagellations qu’elle subissait. Il semblait évident pour la jeune torturée que des mains différentes intervenaient à chaque agression qu’on lui infligeait. Elle parvint tout de même à tenir le coup en demeurant immobile et ce, malgré l’énorme difficulté qu’elle dut rencontrer lorsque les bandelettes ancrées à la fourche de son petit vêtement vinrent tour à tour lui mordre l’anus ainsi que le clitoris. La culotte et le soutif furent retirés, laissant une ...
... peau rougie par le traitement subi chez la jeune initiée. Les yeux toujours entravés d’un bandeau, celle-ci fut introduite dans une pièce plus sombre. Elle y eut droit à des soins spéciaux, Chen Liya la soulageant par l’application sur ses parties sensibles d’une pommade adoucissante. La jeune fille prit un évident plaisir à l’exercice mais fut toutefois prise d’étonnement comme elle sentait ses deux orifices intimes se faire au même moment abondamment oindre de la crème lubrifiante. C’est alors qu’elle commença à comprendre et à redouter la suite des choses... On la libéra de son bandeau. On pouvait voir au centre de la pièce une petite table, ronde et basse, garnie de coussins autant sur sa surface qu’à son pourtour. Non loin d’elle se trouvait une autre table, celle-là d’une hauteur plus normale, sur laquelle se trouvaient une dizaine d’objets apparemment cylindriques et enveloppés dans du tissu de soie. Toujours nue et sentant ses fesses rafraîchies par la crème se caresser en glissant l’une contre l’autre, Sophie se plaça debout près du meuble le plus élevé et remit un des articles emballés au premier homme qui se présenta à elle. Elle rougit comme elle aperçut alors un godemiché de bonne taille se faire déballer sous ses yeux par l’individu toujours cagoulé et silencieux. La distribution se poursuivit ainsi, chaque membre de la Société se faisant tour à tour et jusqu’au dernier remettre un gode à chaque fois de calibre différent. L’obscurité se fit soudainement ...