1. Alicia et son papa (22)


    Datte: 16/04/2023, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Matt Demon, Source: Xstory

    Au petit matin, quand le radio-réveil se déclencha, j’étais épuisée et fourbue. Papa m’avait sodomisée plusieurs heures durant, se vidant quatre fois dans mes reins complètement ravagés. J’en pleurai presque en me levant tellement mon anus me lançait comme jamais auparavant. Tant bien que mal, je me douchai puis appliquai de la pommade anesthésiante et cicatrisante sur les lèvres rougeâtres et boursouflées qu’étaient devenus mes sphincters. Je pris mon petit-déjeuner debout, incapable que j’étais de m’asseoir. Et sans faire de bruit, car mon père dormait.
    
    Je partis travailler sans le voir ; il pleuvait un peu, pas assez pour gâcher mon moral ; car paradoxalement, je me sentais bien. En pédalant, je me remémorais le moment où j’avais avoué à mon père que j’avais joui plusieurs fois au travail d’abord, puis chez Babacar ensuite. Il s’en doutait, ou alors Monsieur Rodriguez le lui avait dit. Toujours est-il qu’il m’avait dit envisager une sévère punition. J’en frémissais déjà.
    
    Le patron était assis à sa place habituelle ; je me déshabillai rapidement, après un timide " bonjour " auquel il ne répondit pas. Il m’examina soigneusement, ricana en voyant les marques de ceinture sur mes fesses, et s’attarda sur mes seins. Il les palpa, les soupesa avant d’afficher une moue satisfaite.
    
    — Ils grossissent, pas de doute, constata-t-il en souriant. Bientôt, tu ressembleras à une vraie femme.
    
    Hé, il se prend pour qui, ce connard ? Je ne ressemblerais pas à une femme parce que ma ...
    ... poitrine n’est pas hypertrophiée ? Je n’ai pas envie de ressembler à une vache laitière, moi. Je ne suis peut-être pas un top-modèle, mais je suis quand même jolie. La preuve, tous ces types qui me courent après pour me baiser. Et ce n’est pas parce que j’aurai de gros nénés que je vais changer d’avis.
    
    — C’est quoi cette tête que tu fais ? s’exclama le patron. On dirait que tu veux m’étriper.
    
    — Non, c’est juste que... Excusez-moi, Monsieur, mais je pense ressembler à une femme avec ou sans une grosse poitrine.
    
    — Voyez-vous ça, cette petite conne, pense, ricana Monsieur Rodriguez. Eh bien ferme ta gueule, imbécile. Tu n’as pas à penser, juste obéir. Quand tu ouvres la bouche, c’est pour sucer, pas pour dire des conneries. À propos...
    
    Des larmes de rage plein les yeux, je m’agenouillai. Encore une fois, humiliée, je pliai l’échine devant le mâle. Je sortis sa bite molle et fripée et la pris entièrement en bouche. Je la pompai avec vigueur pour lui faire atteindre sa plénitude, caressai les couilles velues, masturbai la base de la grosse verge tout en léchant le méat. Je sursautai quand le sperme jaillit en saccades épaisses, aspergeant mon visage du front au menton. Puis je rangeai son matériel doucement, il ne s’agissait pas de coincer une couille et de blesser mon boss dans sa virilité.
    
    Ce jour-là, je travaillai avec Marine dans les rayons. Il manquait du monde à cause d’une épidémie de gastro-entérite, elle avait besoin de tout le personnel possible. Le temps ...
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