1. La poursuite du rêve – Une infirmière en Beauce 10


    Datte: 06/09/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: VIEULOU, Source: Hds

    ... sex-shop de la rue de la Gaité avant de reprendre leur train à la gare Montparnasse tout près. Un taxi les dépose en quelques minutes. Il y a de nombreux sex-shop dans cette rue, animée aussi par les théâtres et les restaurants. Le couple se confond dans la foule et lorsqu’Hervé pousse un rideau rouge devant la porte d’un magasin aux vitres fumées, ils se retrouvent à l’intérieur d’un seul coup.
    
    Les premiers rayons qui s’offrent à la vue de Valérie, regorgent de godes et vibromasseurs de toutes sortes et de toutes dimensions, de boules de geishas et d’œufs vibrants. Dans un recoin, des poupées gonflables très réalistes, des tenues féminines affriolantes ainsi que tous les accessoires de BDSM inimaginables. Les rayons en profondeur contiennent des DVD de films pornographique, ainsi que la littérature et des BD sur le même sujet.
    
    C’est un choc pour elle, car c’est beaucoup plus important que ce qu’elle a vu au salon de l’érotisme où tout était dispersé. Elle a beaucoup de mal à se sentir à l’aise dans cet endroit un peu glauque où trois ou quatre hommes la reluquent sans vergogne. Une seule femme à un comptoir qui sert de caisse, c’est une rousse flamboyante outrageusement maquillée avec un corsage imitation panthère. Ses gros nichons apparents sous un tissu transparent, ne sont pas pour rassurer Valérie. Elle fait vraiment trop putain.
    
    Hervé a bien senti que son épouse est affolée par cette ambiance, il s’empresse de lui faire approcher les rayons et ils choisissent ...
    ... ensemble, un gode très réaliste dans une matière souple et plus important que celui acheté au salon de l’érotisme. Hervé choisit un Womanizer W500 , un vibromasseur suisse très efficace pour stimuler le clitoris et un gode gonflable par une poire pour élargir l’entrée du vagin (bien entendu, il pense pour cela au fist fucking qu’il projette, sans en avertir son épouse). Malgré les protestations de Valérie, il jette son dévolu sur des boules de geisha et sur un œuf vibrant avec une télécommande sans fil.
    
    À la caisse, une fois les achats réglés, Hervé demande à la vendeuse si elle peut ouvrir la boite en plexi des boules de geisha et avoir l’amabilité de les nettoyer, afin que sa femme puisse se les introduire dans le vagin. Valérie est rouge de honte, elle est statufiée, sans oser protester. La rousse s’absente pour effectuer la demande du client. Lorsqu’elle revient, elle invite la cliente à venir derrière son comptoir et sans hésiter, elle lève la jupe, baisse la culotte et enfile les trois boules, qui n’ont aucun mal à glisser entre les grandes lèvres de la fente vulvaire.
    
    La vendeuse rousse ne peut s’empêcher de dire à haute voix à l’attention d’Hervé :
    
    • Vot’ Dame, elle dégouline tellement, quelles vont avoir du mal à ne pas ressortir toutes seules. Elle a intérêt à garder ses cuisses serrées.
    
    Valérie est morte de honte en sortant du magasin et c’est à tout petits pas, qu’elle se rend à la gare en compagnie de son mari. Heureusement ce n’est pas très loin et ...