Un sauveur remercié
Datte: 14/04/2023,
Catégories:
fffh,
cadeau,
voiture,
Masturbation
caresses,
Oral
pénétratio,
aventure,
occasion,
Auteur: El Blanco-y-Negro, Source: Revebebe
... matelas. Et se retira délicatement de moi, ses mains glissant lentement sur mes jambes ; ce qui me fit frissonner de me sentir ainsi honorée.
Je remontai pour être allongée entre vous et me laisser aller dans ces enivrantes vibrations.
C’était au tour de la troisième de parler et ne sachant pas ce qu’elle avait vécu, nous étions pendues à ses lèvres :
— Je comprenais bien que vous aviez pris votre pied à vous entendre gémir de la sorte. Je sentais que ma respiration était saccadée. Moi aussi je voulais remercier notre homme, à ma manière. Quand je t’ai senti remonter t’allonger entre nous, j’ai eu peur qu’il parte. Toujours allongée, je l’ai appelé et il est venu se présenter à moi devant la porte ouverte du van. Il s’est baissé et nos visages étaient proches. J’ai tendu le bras et je l’ai attiré à moi pour un baiser long et très tendre.
J’ai pris sa main et l’ai posée directement sur ma poitrine nue. Vous me taquinez souvent sur mes gros seins encore fermes. J’ai espéré qu’il les aimerait. Et vu comme il s’est mis à les caresser, à les empaumer, à les choper de ses deux mains, je crois qu’il les a adorés ! Sa bouche a quitté la mienne pour venir se rajouter à ses mains expertes. Elle a pris possession de mes tétons, les a sucés, les a aspirés. De plus en plus fort. Là c’est moi qui ai adoré !
Quand on me fait ça, ça m’excite si fort que je ne réponds plus de moi. Ma main est partie à la rencontre de sa queue. Je ne savais pas s’il avait éjaculé, je ne ...
... l’avais pas entendu jouir. Mais j’ai vite été rassurée, il bandait comme un taureau !
Alors j’ai joué ma gourmande et j’ai amené son gourdin à l’entrée de ma bouche.
Il s’est relevé pour me permettre d’être en position de le gober. Moi je voulais lui faire la meilleure fellation qu’on lui ait faite de sa vie. Alors je l’ai d’abord léché comme j’aime lécher une glace italienne. Tout le long de sa jolie queue, des testicules jusqu’au gland. Faisant des pauses pour lécher ses bourses.
Et je re-léchais à nouveau son bâton d’amour de toute sa longueur, du plat de ma langue, entrant ainsi en contact avec le maximum de sa peau. Dans cette mi-pénombre, je pouvais à peine voir son visage, je le fixais quand même. Il ne manquait pas une miette du spectacle que je lui offrais. Sans prévenir, j’enfournai sa queue quasiment entière dans ma bouche, puis la fis ressortir très lentement. Sa respiration s’était encore accélérée ; signe que nous connaissons bien, nous les femmes, l’homme est en notre pouvoir ! Je sais parfaitement où mes lèvres doivent travailler, sous le gland sur trois ou quatre centimètres tout autour. Enserrer, desserrer, enserrer à nouveau tout en le faisant venir et sortir dans ma bouche humide et chaude. Puis je l’embouche complètement. Et là il tressaillit.
Je pris alors ce rythme assez lent, mais très régulier ; pas besoin d’aller vite, ce rythme c’est lui qui fait tout et c’est tout un art. Je le suçais avec application, des fois en cherchant son regard; J’ai ...