1. John & Jane (1)


    Datte: 14/04/2023, Catégories: Transexuels Auteur: Kama666, Source: Xstory

    Je m’appelle John et je suis aussi Jane (un prénom anglais« Djène »). Mes histoires précédentes de « Mon cousin, mon initiateur » à « Dix-neuf ans et bisexuel » vous ont permis ou vous permettrons de me découvrir et de connaître l’évolution de ma sexualité avec 3 personnages clés : mon cousin Dom qui m’a dépucelé, ma tante Jade qui m’a fait découvrir le sexe au pluriel et ma sœur de cœur Eve qui m’a conduit sur le chemin du travestissement.
    
    L’été dernier j’ai vécu 15 jours de folie en famille, 15 jours d’orgie couronnés par une fête pour mes 19 ans rassemblant 7 couples libertins. J’ai quitté Montpellier le cœur gros en m’éloignant de ma tante et de ma sœur de cœur.
    
    Aujourd’hui à Paris je suis en seconde année de fac et je vis chez mes parents en banlieue. Depuis mon retour de vacances j’insiste auprès d’eux pour avoir une chambre indépendante et me rapprocher de l’université.
    
    A l’abri de leurs regards je veux vivre ma sexualité, devenir Jane ou rester John, je veux me donner comme une femme ou faire l’amour comme un homme.
    
    Par chance la nature m’a donné un aspect androgyne. Effectivement, svelte je ne suis pas très musclé et j’ai un joli petit minois, en plus je m’épile et me laisse pousser les cheveux en me coiffant avec une mèche sur le front, un peu comme Cloclo. Par contre beaucoup disent aussi que la nature m’a bien doté.
    
    La bagarre avec mes parents pour avoir un « Chez moi » et quitter la banlieue a été longue. Ils prétextaient que j’étais encore bien ...
    ... jeune, que je n’étais pas organisé pour vivre seul, sans parler des dangers que cela présentait et du surcoût occasionné. Il a fallu plus de 6 mois pour que j’obtienne ce «Chez moi», mais j’en parlerai plus tard.
    
    Sous leurs yeux pudibonds j’étais devenu un libertin et j’avais développé mon jardin secret. Ceci étant à la maison ma vie sexuelle était mise en sommeil même si mes envies bouillonnaient comme la nature au printemps. J’ai gardé l’habitude de me masturber et de déguster mon sperme, je maintenais aussi la souplesse de mon petit trou à l’aide des plugs et godes offerts cet été... J’étais un vrai cul mouillé.
    
    Mes parents parlant du danger de vivre loin de la maison, n’imaginaient pas que le train de banlieue constituait un risque majeur. Il y a des années, comme scolaire j’avais subi quelques attouchements, je n’y prêtais pas attention. A présent, en allant à la fac j’ai retrouvé ces contacts mais cette fois sans les éviter. La régularité des horaires faisait qu’on rencontrait les mêmes voyageurs, dans le même train, le même wagon, à la même porte. Le signal de départ entraînait toujours une bousculade au dernier moment.
    
    Un soir j’étais debout dans un coin près de la porte et un monsieur, un gentil papa d’une soixante d’années se trouvait perpendiculairement à moi les bras ballants, dans la bousculade du départ sa main me toucha accidentellement l’entrejambe. Tout un chacun retrouvait son équilibre mais le dos de la main continuait à frôler naturellement ce qui ...
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